Noches de Volodya y de Ilusión.

@Giselle guapa, toma, para tí. Un señor con jersey de cuello subido.
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Al de atrás le invitaría a un té en samovar
 
Si fueras listos los de la cia, retocarían alguna de estas fotos incorporando, no sé, mugre en una uña, o un moco en la nariz, o una legaña en el borde del ojo
Se puede hacer bien
Por lo de la guerra psicológica

A Biden no hace falta retocarle nada, él solito queda bastante mal

Igual el zar de zares nos lee y hace lo propio "retocando" alguna foto de Peskov para que pierda sex-appeal y dejemos de reivindicar un hilo propia para su persona física
Ni se le ocurra, por muy zar que sea y temprano que se levante. :cool:
 
La verdad es que me encanta Peskov, cuando mira así, de lado, se me hace irresistible.

Ver el archivo adjunto 3160436
Tienes un problema serio... Serio...

Señoras, aquí estoy de vuelta. Se acabo lo que se daba. Se me ha juntado el deshacer las maletas del veraneo con el preparar la mochila del comienzo del cole. En fin... Bendita rutina, dicen...

Veo que todo sigue como siempre; la contraofensiva ucraniana avanzando a pasos tan agigantados como el cáncer de Putin; Peskov con sus peskovfanes irredentas; el payaso de Kiev haciendo el monguer, cada vez con menos público, cierto es, y siempre fiel a su lema "hoy más coñazo que ayer, pero menos que mañana"; Biden derrochando salud y lucidez; la Muland Francis rebuznando cada vez más bajito; Ana-Lela diciendo chorradas sin que nadie le haga casito (ya ni sus propios electores); Budanov sin hacer directos que se nos ha quedado "moñeco" total; el Zar y Chim Pim pasando del G20; Macrón que pone un circo y le crecen los enanos; Blinken a la voz de su amo, los lobbies armamentísticos, se entiende; Europa, Protectorado Anglousano Desunido, cada vez más jodidilla y sin saber de dónde vendrán las ostias este invierno y... tenemos que lamentar la gran pérdida de nuestro Arguiñano que llegó de la Estepa, ese cocinero antes que fraile, ese mercenario de la carne, ese yonqui de la guerra y los dineros... érase un hombre a una peluca pegado, érase una calva superlativa... el azar, o el Zar, quién sabe, nos ha privado de disfrutar más tiempo de sus tiktokeos y su singular graciejo... en fin... siempre en nuestros corazones.

Y una buena noticia, pese a lo luctuoso del verano, en Mariupol los niños han empezado el curso con normalidad, en un nuevo cole. Por fin, tras más de 30 años, se comienza a contruir de nuevo en los territorios anteriormente conocidos como Ucraña. Por fin tras tanto tiempo empiezan a mejorar infraestructuras, a edificar instalaciones... porque en más de tres décadas, los ucrañanos no repararon ni un triste de bache de carretera. Ni uno. Se conoce que no les quedaba tiempo libre con eso de reescribir/inventar su historia y autoinocularse el odio a Rusia.

 
Dejó aquí este artículo completo, en spolier, de Le Figaro; es necesaria suscripción, por eso lo traigo, y porque me parece que está muy bien, la verdad. Ya se que es una gabachada, pero también se que me quereis y me lo perdonais. No lo dejo en el hilo de la guerra, porque, para empezar no he entrado aún (me falta valor, a qué negarlo, y estómago) aunque me da que serán páginas y páginas en blanco en las que sólo me aparecerá de vez en cuando algún comentario de @Bubi (interesantísimos siempre).

Luc Ferry: «Sur l’Ukraine, Nicolas Sarkozy a largement raison»​



Par Luc Ferry. LE FIGARO

CHRONIQUE – De toute évidence cette guerre plombe l’Europe alors qu’elle bénéficie aux États-Unis, mais paradoxalement aussi à Poutine.
Critiqué, voire insulté pour ses propos sur la guerre en Ukraine par tout ce que le pays compte de grandes consciences morales (et Dieu sait qu’il n’en manque pas…), Nicolas Sarkozy n’en a pas moins dit, dans son entretien accordé au Figaro Magazine, un certain nombre de vérités avec une liberté de ton qui tranche sur le conformisme ambiant. Pour commencer, il a bien sûr rappelé que l’agression russe violait le droit international mais que pour autant, si on voulait sortir d’un conflit qui s’annonce aussi interminable que meurtrier, il fallait comprendre trois choses.
D’abord que l’Ukraine est à l’évidence un pont entre la Russie et l’Europe occidentale. À l’est, les communautés russophones et russophiles sont nombreuses et plus on va vers l’ouest, plus on se rapproche de la Pologne et plus on est pro-américain. Tant par son histoire, sa géographie et sa diversité culturelle explosive, l’Ukraine n’a vocation à entrer ni dans l’Otan ni dans l’UE. Dire le contraire, c’est non seulement lui faire miroiter des fausses promesses, mais c’est prendre le risque, comme l’a démontré la guerre civile du Donbass, de la déchirer.
À lire aussiDans le Donbass, la «lutte à mort» des combattants ukrainiens: le récit de l’envoyée spéciale du Figaro
Il a ajouté ensuite qu’aucune solution n’était possible par la guerre: il est désormais évident que malgré les dizaines de milliards déversés par les États-Unis pour armer l’Ukraine, sa contre-offensive patine, de sorte qu’au final une négociation s’imposera, si du moins on veut éviter une catastrophe, hélas encore possible. Non seulement la Russie est la deuxième puissance nucléaire mondiale mais, politiquement, Poutine ne reculera jamais. Au reste, pour l’Ukraine, un après-Poutine serait pire encore.

Les grands gagnants​

Mais allons plus loin: supposons même que l’Ukraine gagne ce conflit, qu’elle parvienne à restaurer son intégrité territoriale y compris en Crimée, reste que la guerre qui sévit dans le Donbass depuis 2015, faute d’une application des accords de Minsk, ne serait pas éteinte. Comme l’a dit Edgar Morin, un intellectuel peu suspect d’être un pro-Poutine d’extrême droite, la Crimée est à 85 % peuplée de Russes de sorte qu’au lieu de vouloir la récupérer à tout prix par les armes, il faudra bien se résoudre un jour, comme le propose Sarkozy, à y organiser des élections libres, supervisées par l’UE.
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De toute évidence cette guerre plombe l’Europe alors qu’elle bénéficie aux États-Unis, mais paradoxalement aussi à Poutine. Les États-Unis en sont les grands gagnants: ils vendent leurs centrales nucléaires à la Pologne, des F35 à l’Allemagne, le blé du Middle-West et le pétrole de schiste au monde entier, le conflit ayant au passage permis à Biden de sauver les midterms, de reconstituer l’Otan dont Macron disait pourtant il y a peu qu’elle était «en état de mort cérébrale»et d’apparaître à 81 ans comme le leader incontestable du monde libre!
Pendant ce temps-là Poutine, soutenu comme jamais par son peuple, apparaît comme l’autre gagnant d’un conflit qui lui permet hélas de fédérer autour de lui tous les ennemis de la démocratie. Entre autres: la Chine, l’Inde, la Corée du Nord, l’Iran, mais aussi une bonne vingtaine de pays d’Afrique qui, animés par la haine des anciens colonisateurs, se précipitent comme on le voit au Niger dans les bras de la Russie.
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Empêtrée dans ses divisions sous une fausse apparence d’unité (pour ne rien dire des autres, la Pologne et la France sont tout sauf sur la même ligne…), minée par l’inflation, l’UE devenue bêtement atlantiste s’avère incapable de proposer un plan de paix. On rêverait d’un de Gaulle, voire d’un Védrine, mais encensant Hollande, François Heisbourg se dit dans L’Express«en état de sidération» devant les «apparentements terribles de l’ancien président avec les extrêmes» (on en frémit d’horreur…). Pour faire bonne mesure, il laisse entendre qu’il aurait été payé par les Russes, des «suites judiciaires» étant possibles.
Plutôt qu’insulter Sarkozy de manière aussi vulgaire, on aurait aimé un débat argumenté, mais il est vrai que l’insulte prend toujours place quand l’argumentation fait défaut.
Par contraste, on lira l’article de Gérard Araud publié dans Le Point qui, bien que partiellement en désaccord avec Sarkozy, lui donne malgré tout raison sur l’essentiel, une discussion courtoise et intelligente qui tranche avec les invectives de ceux qui considèrent depuis leur canapé que plaider pour la paix est forcément «munichois» et que les centaines de milliers de morts que cette guerre imbécile a déjà causés sans le moindre résultat utile doivent nous inciter à continuer dans l’escalade insensée de l’armement et de la mort.

Está muy bien, aunque esté en gabacho, @Byb silencio, por favor! Reconoce una cosa de la que nadie en occidente habla, pero que he podido constatar por mi misma este verano. La gente está a muerte con Putin. Mucho más que antes. Y no, no es de boquilla, ni por miedo. Es en parte porque están de los ucranianos y de los desprecios occidentales hasta la punta del cimbrel. Y Putin, zorro viejo, sabe aprovecharse siempre de esas cosas...
 
Tienes un problema serio... Serio...

Señoras, aquí estoy de vuelta. Se acabo lo que se daba. Se me ha juntado el deshacer las maletas del veraneo con el preparar la mochila del comienzo del cole. En fin... Bendita rutina, dicen...
❤️
Veo que todo sigue como siempre; la contraofensiva ucraniana avanzando a pasos tan agigantados como el cáncer de Putin; Peskov con sus peskovfanes irredentas; el payaso de Kiev haciendo el monguer, cada vez con menos público, cierto es, y siempre fiel a su lema "hoy más coñazo que ayer, pero menos que mañana"; Biden derrochando salud y lucidez; la Muland Francis rebuznando cada vez más bajito; Ana-Lela diciendo chorradas sin que nadie le haga casito (ya ni sus propios electores); Budanov sin hacer directos que se nos ha quedado "moñeco" total; el Zar y Chim Pim pasando del G20; Macrón que pone un circo y le crecen los enanos; Blinken a la voz de su amo, los lobbies armamentísticos, se entiende; Europa, Protectorado Anglousano Desunido, cada vez más jodidilla y sin saber de dónde vendrán las ostias este invierno y... tenemos que lamentar la gran pérdida de nuestro Arguiñano que llegó de la Estepa, ese cocinero antes que fraile, ese mercenario de la carne, ese yonqui de la guerra y los dineros... érase un hombre a una peluca pegado, érase una calva superlativa... el azar, o el Zar, quién sabe, nos ha privado de disfrutar más tiempo de sus tiktokeos y su singular graciejo... en fin... siempre en nuestros corazones.
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Y una buena noticia, pese a lo luctuoso del verano, en Mariupol los niños han empezado el curso con normalidad, en un nuevo cole. Por fin, tras más de 30 años, se comienza a contruir de nuevo en los territorios anteriormente conocidos como Ucraña. Por fin tras tanto tiempo empiezan a mejorar infraestructuras, a edificar instalaciones... porque en más de tres décadas, los ucrañanos no repararon ni un triste de bache de carretera. Ni uno. Se conoce que no les quedaba tiempo libre con eso de reescribir/inventar su historia y autoinocularse el odio a Rusia.


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