Zonas NO-GO: La Sharia se extiende por Europa.

Exacto. Lo que no interesa que se sepa se obvia o se enseña solo de pasada y a horas intempestivas. Lo de comprar medios y regarlos con dinero público es lo que tiene.
De hecho en los papeles de PANDORA han cogido al clan de los Pujol... ¿Quién ha informado de ello? Ah sí, de pasada, en la radio a las dos de la mañana, sin el más ligero comentario.....
 
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Una imagen vale más que mil palabras :sick:
 
Pongo la entrevista que ha publicado el diario belga, Le Soir, con el abogado de Charlie Hebdo. Está en francés, si no entendéis algo me lo decís.



Richard Malka. "La izquierda ha abandonado la crítica al Islam"

En su último libro "El derecho de echarle mierda a Dios", el abogado de Charlie Hebdo hace una llamada al espíritu crítico y golpea el laxismo de ciertos responsables políticos.


Richard Malka: «La gauche a abandonné la critique de l’islam»​

Dans son dernier livre, « Le droit d’emmerder Dieu », l’avocat de « Charlie Hebdo » lance un appel à l’esprit critique et pilonne la lâcheté de certains responsables politiques.

Richard Malka, l’avocat de Charlie Hebdo, publie in extenso la plaidoirie qu’il a livrée au procès des attentats de janvier 2015 (Le droit d’emmerder Dieu, Grasset). L’un des plus ardents défenseurs de la liberté d’expression y évoque les disparus du journal satirique et l’histoire du blasphème. Il dénonce la responsabilité des complices intellectuels qui ont « soufflé sur les braises » dans un texte percutant.

Votre titre, c’est de la provoc’ ?

Je ne l’ai pas du tout conçu comme ça. C’est un titre qui ressemble à Charlie, je me devais de faire en sorte que ce ne soit pas de l’eau tiède. Il y a le souci de bousculer la petite musique d’époque qui devient de plus en plus inquiétante selon laquelle, en particulier pour les jeunes générations, on aurait l’obligation de respecter les religions. Je voulais par ce titre alerter, dire aux jeunes qu’ils vont préparer un monde où ils vivront enchaînés comme on a vécu pendant des siècles. Là, on recule. C’est l’obscurantisme qui revient. Et quand on voit les ténèbres avancer, on crie !

Lors du procès des attentats de janvier 2015, vous l’avez criée cette phrase ?

Oui, à ce moment-là, je pensais à Cabu, Charb, je pensais à ceux qui ne sont plus et qui sont morts pour ça.

Qu’est-ce que vous attendiez du procès ?

Les accusés dans le box ne m’intéressent pas plus que ça. J’étais l’avocat de la personne morale. Je défendais le symbole, et ce qui m’intéressait c’était de faire le procès des mots et de l’idéologie qui avaient amené à cet acte terroriste, des complices intellectuels.

Vous parlez de l’obscurantisme qui revient. La liberté d’expression est-elle plus menacée aujourd’hui qu’en 2016 ?

En France, il y a eu un malaise qui n’a cessé de s’accroître, que j’ai vécu étant avocat de Charlie et d’autres. Là, entre le procès, les nouveaux attentats, Samuel Paty, le discours politique a changé : on entend moins le fameux « mais » après l’affirmation de la liberté d’expression, on n’ose plus, sauf encore quelques intellectuels d’une complaisance assez confondante.

Vous pointez la trahison du milieu universitaire…

Il y a un grave problème dans les universités françaises qui va au-delà même de la question des religions : une régression de la liberté d’expression, de l’acceptation du débat au prétexte de cette idéologie qu’on appelle woke. Ce « gloubi-boulga » sans aucune consistance est dangereux parce qu’il réintroduit le concept de race, il met les gens dans des cases en fonction de la couleur, l’origine, la religion. C’est un nouveau dogmatisme inquiétant en germe, porteur de conflits, d’un nouvel antisémitisme, on le voit aux États-Unis. Et c’est l’inverse de l’universalisme.

Que répondez-vous aux accusations d’islamophobie ?

Charlie Hebdo a été de tous les combats antiracistes ! Quant à l’islamophobie, c’est un terme que je récuse. On a le droit d’être islamophobe, j’encourage même les gens à être islamophobes, christianophobes, judéophobes, bouddhophobes… Ça veut dire avoir peur des religions. Mais oui, il faut toujours être vigilant à l’égard des religions ! Ce que l’on ne peut pas insulter devient des dogmes, et donc des chaînes. Et c’est une nécessité d’abord, qui ne s’exerce en réalité qu’en réaction à des attaques terroristes, à l’immixtion du religieux dans la sphère publique. Ce n’est jamais gratuit. Ce sont les hommes que l’on doit respecter. Mais on peut insulter toutes les croyances. Et ce terme d’islamophobie a en réalité été inventé pour empêcher toute critique d’une religion. D’ailleurs, ça a partiellement réussi.
Vous dénoncez le rôle de la gauche française…

Elle a une responsabilité historique ! Par complexe, par culpabilité, parce que l’extrême droite a préempté ces thèmes-là, la gauche les a complètement abandonnés. Elle est allée dans le sens d’une culpabilisation de tous ceux qui remettaient en cause la place d’une religion particulière. C’est méprisant et condescendant à l’égard des musulmans. Pourquoi l’islam serait la seule religion qui ne soit pas critiquée ? Ce serait sortir l’islam du pacte républicain, et le pire service à lui rendre. Ce serait aussi présupposer que les musulmans n’ont pas d’humour, n’ont aucun recul sur leur religion. Je refuse ! C’est ça le racisme pour moi !

Vous attendez encore un réveil du politique ?

Le monde politique s’est réveillé. La gauche non ! Mais la critique de Dieu, c’est d’abord quand même une valeur de gauche à la base. C’est une trahison, et ça explique pourquoi la gauche modérée n’existe plus en France. Aujourd’hui, ils font 5 % et ils n’arrivent toujours pas à avoir un minimum d’audace, à développer un embryon de discours sur ces sujets. Ils n’ont plus de raison d’être ! Parce que si la différence entre la gauche et la droite, c’est le niveau de la TVA sur le textile, franchement, ce n’est pas très intéressant. On demande une vision du monde ! Là, il y a le vide.


Les Français sont encore « Charlie » ?

Oui ! Mais il y a une rupture générationnelle. Mais même chez les jeunes, il n’y a pas que des wokes. Ce sont ceux qui font le plus de bruit, des jeunes bourgeois urbains en général plutôt privilégiés. Je ne suis pas sûr qu’ils soient majoritaires. Ce sont les nouveaux gardes rouges. Regardez ce que ça donne la révolution culturelle 50 ans plus tard : la société la plus sauvagement capitaliste et inégalitaire du monde. Je crains que ces gens-là deviennent les pires réactionnaires qu’on n’ait jamais vus. Et boum, publiez ça ! (rires)
 

¿De qué hablamos cuando hablamos de Saint-Denis?

  • «Saint-Denis es una metáfora explosiva, olla a presión de todos los aspectos de la Francia disfuncional»
Cuando Francia discute sobre los desmanes en la final de la Champions, no está hablando de incidentes ligados a una mala organización de un evento deportivo, sino de la mala gestión de un país. No se trata ni de la preocupación por el Mundial de Rugby del año que viene ni por pasar vergüenza en los Juegos Olímpicos 2024 que se desarrollarán, en parte, en el Stade de France, en el barrio parisino de Saint-Denis.

Ninguna entrada falsa, ningún fallo en el dispositivo policial, ninguna improvisación en la organización del evento explica, por sí sola, que bandas locales golpearan, robaran y manosearan a familias de ingleses y españoles que habían viajado a ver un partido de fútbol a la vecina Francia.

Si durante siglos la mención de Saint-Denis era ante todo una alusión a la basílica que alberga las necrópolis de los reyes merovingios y carolingios, desde hace una par de décadas remite al Neuf-Trois (nueve-tres), su código administrativo, machacado en las letras de rap. Se canta con orgullo ‘soy del 9-3’ como otros celebran con el ghetto blaster su áspera pertenencia a South Central, Compton u otros distritos marginales de Estados Unidos.

Saint-Denis es una metáfora explosiva, olla a presión de todos los aspectos de la Francia disfuncional, lo que explica la inmediata lectura partidista asumida por todo el espectro político.

El ministro del Interior francés ha optado por la facilidad de echarle la culpa a los aficionados británicos, afirmando que hubo falsificaciones «masivas e industriales». Cifró entre «30.000 y 40.000» el número de hinchas ingleses sin entradas o con entradas falsificadas y apuntó a que el «fraude» tiene su origen en el Reino Unido.

Sin embargo, la UEFA y la Federación Francesa de Fútbol (FFF) estimaron el martes en «2.800» el número de «entradas falsas escaneadas» durante la final de la Liga de Campeones. En todo caso, no ha habido ninguna autocrítica ni cuestionamiento del dispositivo policial, que se encontró claramente desbordado. Nada sobre los testimonios de familias que cuestionaron la pasividad policial ante los ataques y robos.

Por el contrario, la izquierda antisistema de Jean-Luc Mélenchon, que tuvo un excelente resultado (49%) en las presidenciales en Saint-Denis, adjudicó, previsiblemente, los enfrentamientos a los policías que, como se sabe, van a provocar.

Del otro extremo del arco político, Eric Zemmour, apeló a uno de sus recursos preferidos y rasgó la cuerda nostálgica de la historia: «Me entristece ver cómo la ciudad de los reyes se ha convertido en un enclave extranjero en el que la gente ya no viste a la francesa y en el que el orden lo mantienen bandas de matones y traficantes», aseveró. Zemmour ve en Seine-Saint-Denis, departamento donde el nombre más común en 2020 fue Mohamed, la confirmación de su apreciada teoría del «gran reemplazo».

Sí, hubo falsificaciones de entradas y desorganización, agravada por la huelga de trenes -esto es Francia- que dificultaron la llegada de los ingleses, pero no eran hooligans ni madridistas quienes protagonizaban los robos y golpizas. De hecho, no eran estos quienes prevalecían numéricamente entre los detenidos, sino varones que residen en Francia, legal o ilegalmente.

Tal vez el hecho de que Karim Benzema, role model de muchos franceses de «la diversidad» estuviese presente, fuera un incentivo para entrar a ver a su ídolo al cualquier precio, incluyendo la gratuidad. ¿Habría habido este tipo de incidentes en un concierto de Coldplay o un mundial de Rugby?

También es cierto que otros vieron su agosto en la llegada de turistas, muchas veces en familia, que estaban en «su» territorio y pidieron un peaje al extranjero, que se tradujo en los cientos de teléfonos y entradas robadas a los aficionados.

A regañadientes, la Prefectura admitió en la participación de los desmanes la presencia de «grupos de 300 o 400 jóvenes». «Jóvenes» pertenece a la misma familia de eufemismos que «barrio sensible».

En cualquier caso, Saint-Denis, el departamento que encabeza la mayor concentración de población de origen inmigrante del país, cristaliza algunos de los malestares más profundos de la sociedad francesa: las dificultades de un Estado que ha desertado el lugar, incapaz de hacer respetar las reglas en lo que se ha dado en llamar «los territorios perdidos de la república».

Para los franceses, lo que ocurrió en la final de la Champions es muchas cosas, menos una sorpresa. Para los extranjeros, sí. Probablemente no sepan lo que ahí ocurrió porque nadie quiere «estigmatizar» a la población local que, por supuesto, es mayoritariamente ajena a la violencia y es la primera en padecerla en carne propia.

Es precisamente esta falta de información la que quiso destacar, ante la prensa anglosajona, la exestrella de los Bleus, Thierry Henry, quien declaró a CBS antes del partido: «Ojo, el estadio está en Saint-Denis, no en París. Sí, está muy cerca, pero créanme que no querrían estar en Saint-Denis. Saint-Denis no es París«.

Ahora el mundo sabe dónde está Saint-Denis. Y los franceses no están particularmente orgullosos.

 

Yo no entiendo cómo no se puede controlar esto??

- Primero, hay que endurecer la inmigración. No somos precisamente un país creador de empleo como para estar importando perfiles de baja cualificación y exportando de alta cualificación.

- Segundo, no más admisión de refugiados, o no a la ligera. Los refugiados musulmanes que sean acogidos por países vecinos de religión y culturas afines.

- Tercero. Creación de grupos parapoliciales que combatan a esta gente. Es algo que no se puede hacer público ni cambiar leyes... Muchos tienen ya nacionalidad europea, así que creo que sólo se puede gestionar en la sombra.
 
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