JACQUES BREL

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Jacques Brel ( 1929 - 1978 )



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(Bruselas, 1929 - París, 1978) Cantante belga. Junto con Georges Brassens, que apoyó su carrera, fue el gran líder de la canción de autor francesa de la década de 1950 y principios de la de 1960, hasta su práctica retirada como cantante en 1966. Comprometido con las corrientes intelectuales progresistas, sus canciones reflejaban el ambiente de inquietud social y religiosa de su época.

Sus inquietudes musicales le llevaron a París recién cumplidos los veinte años y en apenas otros diez, a finales de los cincuenta, era ya el cantautor más importante de su generación. En 1965 realizó su primer viaje a los Estados Unidos con un éxito inesperado, que llevó a los más reputados intérpretes norteamericanos y británicos (Frank Sinatra, Neil Diamond o Dusty Springfield, entre otros) a incluir versiones de sus temas en sus respectivos repertorios. Antes de efectuar su anunciada retirada emprendió la presentación de uno de sus más viejos y queridos proyectos: su homenaje a Don Quijote de la Mancha, plasmado en el álbum L'homme de la Manche, en el teatro de Los Campos Elíseos de París.

En 1977, tras diez años de silencio, un nuevo álbum suyo, significativamente titulado Brel, vendió más de 650.000 copias sólo durante el primer día de su aparición. La valse de mille temps, Les bourgeois, Ne me quitte pas, Le plat pays, Il nous faut regarder, Les dames patronesses, Les vieux o Quand on n'a que l'amour son algunos de sus temas más recordados. Brel participó también como actor en algunas películas, como Les risques du métier, Mon oncle Benjamin o L'Emmerdeur. Asimismo dirigió dos films: Franz y Far West.




Biografía:




Discografía

1955 Jacques Brel 1 (Jacques Brel et Ses Chansons)
1957 Jacques Brel 2
1958 Jacques Brel 3
1959 American Debut
1959 Jacques Brel 4
1962 A l'Olympia 1962
1962 Jacques Brel [1962]
1963 Jacques Brel Acompagne Pas Francois Rauber...
1964 Jacques Brel, Vol. 6
1964 Jacques Brel [Ces Gens-La]
1964 Olympia 64
1965 Jacques Brel
1966 Jacques Brel [Les Bonbons]
1966 Encore
1968 Jacques Brel [J'Arrive]
1977 Brel
1988 Ne Me Quitte Pas
1993 Knokke Live 1963
1996 L' Univers Symphonique
1997 Amsterdam
1998 Brel Knokke New 94
1998 L'Homme de la Mancha
1998 En Scenes
Les Vieux
Marieke
Le Formidable Jacque Brel
Pierre et le Loup/L'Histoire de Babar


Obra escrita
 
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Canción, Ne me quitte pas

En 1959 Brel graba lo que sería su obra maestra y mayor éxito, el sencillo Ne me quitte pas (No me abandones), una sentida balada con una sencilla estructura melódica y una poderosa letra inspirada en la ruptura amorosa con Suzanne Gabriello "Zizou", Brel abandonó a su amante embarazada mientras ella suplicaba. La canción ha sido interpretada por los más importantes cantantes desde su publicación original, rebasando ritmos, estilos e idiomas.















Jacques Brel - Ne me quitte pas (original 1959 studio version)







Ne me quitte pas

Ne me quitte pas
Il faut oublier
Tout peut s'oublier
Qui s'enfuit déjà
Oublier le temps
Des malentendus
Et le temps perdu
À savoir comment
Oublier ces heures
Qui tuaient parfois
À coups de pourquoi
Le coeur du bonheure
Ne me quitte pas

Moi je t'offrirai
Des perles de pluie
Venues de pays
Où il ne pleut pas
Je creuserai la terre
Jusqu'après ma mort
Pour couvrir ton corps
D'or et de lumière
Je ferai un domaine
Où l'amour sera roi
Où l'amour sera loi
Où tu seras reine
Ne me quitte pas

Ne me quitte pas
Je t'inventerai
Des mots insensés
Que tu comprendras
Je te parlerai
De ces amants là
Qui ont vu deux fois
Leurs coeurs s'embraser
Je te raconterai
L'histoire de ce roi
Mort de n'avoir pas
Pu te rencontrer
Ne me quitte pas

On a vu souvent
Rejaillir le feu
De un ancien volcan
Qu'on croyait trop vieux
Il est paraît-il
Des terres brûlées
Donnant plus de blé
Qu'un meilleur avril
Et quand vient le soir
Pour qu'un ciel flamboie
Le rouge et le noir
Ne s'épousent-ils pas
Ne me quite pas

Ne me quite pas
Je ne vais plus pleurer
Je ne vais plus parler
Je me cacherai là
À te regarder
Danser et sourire
Et à t'écouter
Chanter et puis rire
Laisse-moi devenir
L'ombre de ton ombre
L'ombre de ta main
L'ombre de ton chien
Ne me quitte pas


J. Brel
 
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“La chanson des vieux amants - La canción de los viejos amantes


La canción “La chanson des vieux amants”, habla de la vida misma, tan llena de contrastes, de iras y acercamientos, de momentos buenos y malos en el amor, ya que trata de la biografía común de esa pareja de amantes durante veinte años, en que ha pasado de todo. Melodía y texto, perfectamente ajustados, hacen de esta canción una pequeña obra maestra.




“La chanson des vieux amants"






Jacques Brel- chanson des vieux amants with english lyrics







Bien sûr, nous eûmes des orages

Vingt ans d’amour, c’est l’amour fol

Mille fois tu pris ton bagage

Mille fois je pris mon envol

Et chaque meuble se souvient

Dans cette chambre sans berceau

Des éclats des vieilles tempêtes

Plus rien ne ressemblait à rien

Tu avais perdu le goût de l’eau

Et moi celui de la conquête.

Mais mon amour

Mon doux mon tendre mon merveilleux amour

De l’aube claire jusqu’à la fin du jour

Je t’aime encore, tu sais, je t’aime.

Moi, je sais tous tes sortilèges

Tu sais tous mes envoûtements



Tu m’as gardé de pièges en pièges

Je t’ai perdue de temps en temps

Bien sûr tu pris quelques amants

Il fallait bien passer le temps

Il faut bien que le corps exulte

Finalement, finalement,

Il nous fallut bien du talent

Pour être vieux sans être adultes.

Et plus le temps nous fait cortège

Et plus le temps nous fait tourment

Mais n’est-ce pas le pire piège

Que vivre en paix pour des amants

Bien sûr tu pleures un peu moins tôt

Je me déchire un peu plus tard

Nous protégeons moins nos mystères

On laisse moins faire le hasard

On se méfie du fil de l’eau

Mais c’est toujours la tendre guerre.



Bien sûr, nous eûmes des orages

Vingt ans d’amour, c’est l’amour fol

Mille fois tu pris ton bagage

Mille fois je pris mon envol

Et chaque meuble se souvient

Dans cette chambre sans berceau

Des éclats des vieilles tempêtes

Plus rien ne ressemblait à rien

Tu avais perdu le goût de l’eau

Et moi celui de la conquête.

Mais mon amour

Mon doux mon tendre mon merveilleux amour

De l’aube claire jusqu’à la fin du jour

Je t’aime encore, tu sais, je t’aime.

Moi, je sais tous tes sortilèges

Tu sais tous mes envoûtements


Tu m’as gardé de pièges en pièges

Je t’ai perdue de temps en temps

Bien sûr tu pris quelques amants

Il fallait bien passer le temps

Il faut bien que le corps exulte

Finalement, finalement,

Il nous fallut bien du talent

Pour être vieux sans être adultes.

Et plus le temps nous fait cortège

Et plus le temps nous fait tourment

Mais n’est-ce pas le pire piège

Que vivre en paix pour des amants

Bien sûr tu pleures un peu moins tôt

Je me déchire un peu plus tard

Nous protégeons moins nos mystères

On laisse moins faire le hasard

On se méfie du fil de l’eau

Mais c’est toujours la tendre guerre.
 
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Canción, Les Marquises

Les Marquises es una canción de Jacques Brel, grabada y lanzada en 1977. Cierra el álbum homónimo y, por lo tanto, se considera la última canción de Brel en su vida. También lanzó como single en noviembre de 1977

En los últimos años, Jacques Brel se retiró a las Islas Marquesas. Sufriendo de cáncer de pulmón y se sabía condenado, regresa a París en septiembre de 1977 para trabajar en el que será su último álbum en los estudios Barclay. El último título del disco, al que rinde homenaje a los paisajes del archipiélago, evoca a Paul Gauguin (quien también pasó los últimos años de su vida y fue enterrado allí) y el paso del tiempo y que, sin embargo, parece no tener dominio. ... En las Marquesas. La canción está grabada en una sola toma y en vivo con una orquesta de cuarenta músicos tocando los arreglos de François Rauber durante la última sesión de grabación.




Les Marquises, ultime escale de Jacques Brel - ARTE







Brel Les marquises






Jacques Brel - Les Marquises (Brel [1977])







Ils parlent de la mort
Comme tu parles d'un fruit
Ils regardent la mer
Comme tu regardes un puit
Les femmes sont lascives
Au soleil redouté

Et s'il n'y a pas d'hiver
Cela n'est pas l'été
La pluie est traversière
Elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs
Qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise
Le temps s'immobilise
Aux Marquises

Du soir montent des feux
Et des pointes de silence
Qui vont s'élargissant
Et la lune s'avance
Et la mer se déchire
Infiniment brisée
Par des rochers qui prirent

Des prénoms affolés
Et puis plus loin des chiens
Des chants de repentance Aux Marquises

Le rire est dans le coeur
Le mot dans le regard
Le cur est voyageur
L'avenir est au hasard

Et passent des cocotiers
Qui écrivent des chants d'amour
Que les surs d'alentour
Ignorent d'ignorer

Les pirogues s'en vont
Les pirogues s'en viennent
Et mes souvenirs deviennent
Ce que les vieux en font

Veux tu que je dise
Gémir n'est pas de mise

Aux Marquises
 
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Canción, Au suivant

Brel denuncia en esta canción los "burdeles militares de campaña", que consiste para la institución militar en "ofrecer prost*tutas" a los jóvenes llamados al contingente, que usan favores sexuales uno tras otro, en cadena.
La canción evoca una inquietud más amplia, la de la miseria sexual y el acto sexual sin amor.



Au Suivant/Jacques Brel











Tout nu dans ma serviette qui me servait de pagne
J'avais le rouge au front et le savon à la main
« Au suivant, au suivant »

J'avais juste vingt ans et nous étions cent vingt
À être le suivant de celui qu'on suivait
« Au suivant, au suivant »

J'avais juste vingt ans et je me déniaisais
Au bordel ambulant d'une armée en campagne
« Au suivant, au suivant »


Moi j'aurais bien aimé un peu plus de tendresse
Ou alors un sourire ou bien avoir le temps
« Au suivant, au suivant »

Ce n' fut pas Waterloo mais ce n' fut pas Arcole
Ce fut l'heure où l'on r'grette d'avoir manqué l'école
« Au suivant, au suivant »

Mais je jure que d'entendre cet adjudant d' mes fesses
C'est des coups à vous faire des armées d'impuissants
« Au suivant, au suivant »

Je jure sur la tête de ma première vérole
Que cette voix depuis je l'entends tout le temps
« Au suivant, au suivant »

Cette voix qui sentait l'ail et le mauvais alcool
C'est la voix des nations et c'est la voix du sang
« Au suivant, au suivant »

Et depuis chaque femme à l'heure de succomber
Entre mes bras trop maigres semble me murmurer :
« Au suivant, au suivant »


Tous les suivants du monde devraient s' donner la main
Voilà ce que, la nuit, je crie dans mon délire
« Au suivant, au suivant »

Et quand je n' délire pas, j'en arrive à me dire
Qu'il est plus humiliant d'être suivi que suivant
« Au suivant, au suivant »

Un jour je m' f'rai cul-de-jatte ou bonne sœur ou pendu
Enfin un d' ces machins où je n' s'rai jamais plus
« Le suivant, le suivant »
 
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Canción , Les Vieux


Con Les Vieux, Jacques Brel pinta un retrato trágico y desesperadamente oscuro de la vejez. El cantante y compositor describe sin concesiones la vida cotidiana de los ancianos, su declive físico e intelectual, que ahora solo tienen la posibilidad de morir: "De la cama a la silla y luego de la cama a la cama". "; "Tienen miedo de perderse y, sin embargo, perderse".

En conclusión, evoca el tiempo que pasa para todos y que inexorablemente acerca la vejez y la muerte: "El reloj plateado / Quién ronronea en la sala de estar / Quién dice sí, quién dice que no / Y luego quién nos está esperando "



Les vieux. J. Brel










Les vieux ne parlent plus ou alors seulement parfois du bout des yeux
Même riches ils sont pauvres, ils n'ont plus d'illusions et n'ont qu'un cur pour deux
Chez eux ça sent le thym, le propre, la lavande et le verbe d'antan

Que l'on vive à Paris on vit tous en province quand on vit trop longtemps
Est-ce d'avoir trop ri que leur voix se lézarde quand ils parlent d'hier
Et d'avoir trop pleuré que des larmes encore leur perlent aux paupières

Et s'ils tremblent un peu est-ce de voir vieillir la pendule d'argent
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, qui dit : je vous attends

Les vieux ne rêvent plus, leurs livres s'ensommeillent, leurs pianos sont fermés
Le petit chat est mort, le muscat du dimanche ne les fait plus chanter
Les vieux ne bougent plus leurs gestes ont trop de rides leur monde est trop petit
Du lit à la fenêtre, puis du lit au fauteuil et puis du lit au lit

Et s'ils sortent encore bras dessus bras dessous tout habillés de raide
C'est pour suivre au soleil l'enterrement d'un plus vieux, l'enterrement d'une plus laide
Et le temps d'un sanglot, oublier toute une heure la pendule d'argent
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, et puis qui les attend

Les vieux ne meurent pas, ils s'endorment un jour et dorment trop longtemps
Ils se tiennent par la main, ils ont peur de se perdre et se perdent pourtant
Et l'autre reste là, le meilleur ou le pire, le doux ou le sévère

Cela n'importe pas, celui des deux qui reste se retrouve en enfer
Vous le verrez peut-être, vous la verrez parfois en pluie et en chagrin

Traverser le présent en s'excusant déjà de n'être pas plus loin
Et fuir devant vous une dernière fois la pendule d'argent
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non, qui leur dit : je t'attends
Qui ronronne au salon, qui dit oui qui dit non et puis qui nous attend
 
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Canción, Quand on n'a que l'amour


Es una canción de Jacques Brel escrita e interpretada en 1956, caracterizada por "Brélian crescendo" (progresión dramática en la escritura y la interpretación). La fuerza del texto reside en particular en el uso constantemente empujado hacia la última línea de apodosis, la proposición principal que sucede a una serie de subordinados condicionales.



"QUAND ON N'A QUE L'AMOUR" - Mr Jacques Brel - 1956 - Original





Quand on n'a que l'amour (Ré-enregistrement 1972)







Paroles de la chanson Quand on n'a que l'amour par Jacques Brel


Quand on a que l'amour
A s'offrir en partage
Au jour du grand voyage
Qu'est notre grand amour
Quand on a que l'amour
Mon amour toi et moi
Pour qu'éclatent de joie
Chaque heure et chaque jour

Quand on a que l'amour
Pour vivre nos promesses
Sans nulle autre richesse
Que d'y croire toujours

Quand on a que l'amour
Pour meubler de merveilles
Et couvrir de soleil
La laideur des faubourgs

Quand on a que l'amour
Pour unique raison
Pour unique chanson
Et unique secours

Quand on a que l'amour
Pour habiller matin
Pauvres et malandrins
De manteaux de velours

Quand on a que l'amour
A offrir en prière
Pour les maux de la terre
En simple troubadour

Quand on a que l'amour
A offrir à ceux là
Dont l'unique combat
Est de chercher le jour

Quand on a que l'amour
Pour tracer un chemin
Et forcer le destin
A chaque carrefour

Quand on a que l'amour
Pour parler aux canons
Et rien qu'une chanson
Pour convaincre un tambour
Alors sans avoir rien
Que la force d'aimer
Nous aurons dans nos mains
Amis le monde entier
 
Canción , Amsterdam


Amsterdam es una canción escrita, compuesta e interpretada en 1964 por Jacques Brel. No hay una versión grabada en estudio de la canción creada por Jacques Brel en el Olympia de París. Amsterdam apareció el mismo año en el álbum grabado en público Olympia 1964.

Amsterdam se convirtió en uno de los grandes éxitos de Brel, una canción casi inevitable durante los siguientes conciertos, caracterizada por "Brelian crescendo" (progresión dramática en la escritura y la interpretación).




Jacques Brel - Dans le port d'Amsterdam - 1964












Paroles de Amsterdam

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui chantent
Les rêves qui les hantent
Au large d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dorment

Comme des oriflammes
Le long des berges mornes
Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui meurent
Pleins de bière et de drames
Aux premières lueurs
Mais dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui naissent
Dans la chaleur épaisse
Des langueurs océanes

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui mangent
Sur des nappes trop blanches
Des poissons ruisselants
Ils vous montrent des dents
À croquer la fortune
À décroisser la lune
À bouffer des haubans
Et ça sent la morue Dans un bruit de tempête
Referment leur braguette
Et sortent en rotant

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui dansent
En se frottant la panse
Sur la panse des femmes
Et ils tournent et ils dansent
Comme des soleils crachés
Dans le son déchiré
D'un accordéon rance
Ils se tordent le cou

Pour mieux s'entendre rire
Jusqu'à ce que tout à coup
L'accordéon expire
Alors le geste grave
Alors le regard fier
Ils ramènent leur batave
Jusqu'en pleine lumière

Dans le port d'Amsterdam
Y a des marins qui boivent
Et qui boivent et reboivent
Et qui reboivent encore
Ils boivent à la santé
Des putains d'Amsterdam
D'Hambourg ou d'ailleurs

Enfin ils boivent aux dames
Qui leur donnent leur joli corps
Qui leur donnent leur vertu
Pour une pièce en or
Et quand ils ont bien bu
Se plantent le nez au ciel
Se mouchent dans les étoiles
Et ils pissent comme je pleure
Sur les femmes infidèles
Dans le port d'Amsterdam
Dans le port d'Amsterdam
 
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