Guillaume y Stéphanie de Luxemburgo esperan su primer hijo para mayo. Apuestas



Stéphanie de Luxemburgo presume ya de barriguita premamá y de tiara
La heredera deslumbró en la cena de gala en la que no estuvo presente la gran duquesa María Teresa, que canceló su agenda para estar al lado de su hermano
Foto: Stéphanie y Alexandra de Luxemburgo. (Cour Grand-Ducale)


Stéphanie y Alexandra de Luxemburgo. (Cour Grand-Ducale)
AUTOR
NÚRIA TIBURCIO

TIEMPO DE LECTURA1 min
17/01/2020 10:25 - ACTUALIZADO: 17/01/2020 13:12
La noche de este jueves, el Palacio Real de Luxemburgo se engalanó para albergar una cena de gala con motivo del nuevo año. El gran duque Enrique recibió a las autoridades de su pequeño país y lo hizo acompañado por los grandes duques herederos y la princesa Alexandra. No estuvo presente la gran duquesa María Teresa, que canceló su agenda para estar al lado de su hermano, Luis Mestre, quien está en la UCI por motivos de salud.
Aunque faltó María Teresa, su nuera y su hija deslumbraron con su vestuario y sus joyas, sobre todo Stéphanie, quien presumió por primera vez de su barriguita de embarazada. Fue a principios de diciembre cuando la Corte Gran Ducal anunció que los herederos estaban esperando al fin su primer hijo, un bebé que está previsto que nazca en mayo y que está llamado a ser el próximo gran duque o gran duquesa de Luxemburgo.
El gran duque con los herederos y Alexandra. (Cour Grand-Ducale)



El gran duque con los herederos y Alexandra. (Cour Grand-Ducale)

Stéphanie eligió para la ocasión un vestido de la firma premamá Seraphine, una de las favoritas de Kate Middleton durante sus embarazos. Se trata de un diseño azul marino de cuerpo liso y mangas de encaje. La heredera coronó su cabeza con la tiara de zafiros y diamantes, una joya de la familia que combinó con unos pendientes a juego y un gran collar de chatones.


Por su parte, su cuñada Alexandra optó por un dos piezas de Elie Saab que perteneció a su madre, la gran duquesa, en colores dorados, con cuerpo con escote cruzado y falda recta hasta los pies. La princesa eligió la Pearl Chocker Tiara, de diamantes y perlas, que perteneció a su abuela, la gran duquesa Josefina Carlota.

Stéphanie y Alexandra de Luxemburgo. (Cour Grand-Ducale)



Stéphanie y Alexandra de Luxemburgo. (Cour Grand-Ducale)

Si espera el bebé para mayo Stephanie tenia que estar de cinco meses aproximadamente en el momento que se hizo la foto. A mi parecer tiene mucha tripa. ¿Qué os parece a vosotras?
 
Si espera el bebé para mayo Stephanie tenia que estar de cinco meses aproximadamente en el momento que se hizo la foto. A mi parecer tiene mucha tripa. ¿Qué os parece a vosotras?

Ella tiene tiempo estando rellenita y con tripa. Tanto así que parecía estar embarazada siempre, así que si se le suma el embarazo, tiene lógica que se vea aún más grande la panza.
 
Está, como es lógico, en francés. Si alguien necesita intentaré traducir

« Ce bébé, c’était notre secret à tous les deux »
« Ce bébé, c’était notre secret à tous les deux »
  • Point de Vue
  • 22 Jan 2020
  • Par Antoine Michelland Photos Julio Piatti
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Stéphanie et Guillaume de Luxembourg ont ouvert les portes de leur résidence privée à Point de Vue. La seigneurie de Fischbach remonte au XIe siècle, le château actuel au XVIIe et il est entré dans la famille grand-ducale au XIXe. Le grand-duc héritier y a passé les quinze premières années de sa vie. Petit thé à deux au coin du feu, un moment tendre et paisible, idéal pour réfléchir au prénom de l’enfant à naître.
Stéphanie et Guillaume de Luxembourg
Un mois après l’annonce officielle de la grossesse de la grande-duchesse héritière, les futurs parents reçoivent Point de Vue chez eux, dans ce château de Fischbach où ont grandi plusieurs générations de princes et de grands-ducs de Luxembourg. Le temps d’un entretien exclusif, débordant de joie et d’émotion.
Madame, Monseigneur, quelle a été votre réaction lorsque vous avez appris cette grande nouvelle ?
Guillaume de Luxembourg : Cela a été un hurlement de joie !
Stéphanie de Luxembourg : C’est surtout toi qui as hurlé.
G. d. L. : Oui, je l’avoue. Mais toi aussi. Nous attendions ce moment depuis longtemps.
S. d. L. : Nous étions tous les deux à la maison, ici, à Fischbach. Je lui ai dit : « Devine quoi ? »
G. d. L. : J’ai répondu : « Non ? » J’ai deviné tout de suite, dès qu’elle est rentrée, je l’ai su, à son regard.
Madame, comment se passe votre grossesse ?
S. d. L. : Merveilleusement bien, le bébé bouge sans arrêt. J’ai commencé à aménager mon emploi du temps. Je suis assez calme et je n’effectue plus beaucoup de déplacements à l’étranger, plus du tout en dehors de l’Europe en tout cas.
G. d. L. : Donc, la prochaine mission économique, je la ferai seul, ce qui est tout à fait normal.
Quand avez-vous prévenu le grand-duc et la grande-duchesse ?
G. d. L. : Nous avons attendu les trois mois, c’était notre secret à tous les deux. Et puis je l’ai annoncé d’abord à ma famille proche et puis assez vite à tous les oncles et tantes, cousins… Et toi pareil, en fait.
S. d. L. : Garder ce bonheur pour nous pendant trois mois, ce temps suspendu, c’était chouette, quelque chose de plus que nous partagions ensemble, avec le bébé qui faisait déjà partie de la famille restreinte, qui était notre passager clandestin.
Et les réactions de vos parents, Monseigneur ?
G. d. L. : Nous les avons pris par surprise. Je ne crois pas qu’ils s’y attendaient. En tout cas, pas à ce moment-là. Le mot euphorie n’est pas trop fort. Ma mère avait les larmes aux yeux. C’était la joie pour nous, aussi un soulagement, ces deux sentiments mêlés, qui ont fait que mon père et ma mère étaient aux petits soins, me
disant : « Maintenant il faut que tu t’occupes de Stéphanie, tu dois bien la protéger. » C’était vraiment très touchant. Et mes frères et soeur étaient ici aussi pour nous entourer. Nous les avions tous invités à dîner avec mes parents sous prétexte de leur montrer les nouveaux aménagements que nous avions réalisés à Fischbach.
S. d. L. : Une pendaison de crémaillère familiale, en somme.
G. d. L. : Cela a marché pour certains, mais mon frère Félix n’y a pas cru une seconde.
S. d. L. : De mon côté, je n’ai pas réussi à rassembler tout le monde dans la même pièce en même temps. Nous sommes plus nombreux. À certains, j’ai pu le dire de vive voix, à d’autres au téléphone, mais tous ont manifesté la même euphorie que mes beaux-parents et mes beaux-frères et belle-soeur. J’ai pu prévenir chacun séparément, personnellement.
Et comment se sont déroulées les vacances de Noël, en Suisse, les dernières que vous aurez passées sans enfant ?
G. d. L. : Tout le monde voulait savoir comment ça allait. Autour de la table du petit déjeuner, ils nous demandaient si le bébé avait bougé la nuit, etc… Nous avons passé cette dernière Nativité en nous imaginant un an plus tard, quand tous ces neveux et nièces du côté de Stéphanie et de mon côté auraient un petit cousin ou une petite cousine en plus. C’était un beau Noël. Avec tous nos frères et soeurs assemblés, ce qui est très rare.
S. d. L. : C’est même la première fois depuis que nous sommes mariés que les fratries sont au complet à Noël. Un très beau clin d’oeil de la Providence.
Quels souvenirs gardez-vous de cette année à Londres ?
G. d. L. : En ce qui me concerne, ma formation au Royal College of Defence Studies dépassait largement le strict cadre militaire. Nous étions plongés dans des domaines aussi variés que la géopolitique, les affaires étrangères, le management, et cela pas seulement avec des officiers, mais aussi avec des diplomates, des acteurs du secteur privé. Et cette expérience a été pour moi très enrichissante, elle m’a ouvert les yeux sur de nombreux pays, leur mentalité, leur culture… D’autant que nous étions un groupe très international, à 70 % composé de non-Britanniques, ce qui offrait des perspectives, un spectre très large de ce qui se passe dans le monde. Et puis, nous avons pu vivre là-bas une année juste à deux, une année à la fois passionnante et merveilleuse et maintenant que nous sommes rentrés au Luxembourg, la vie commence à trois.
S. d. L. : J’ai bénéficié quant à moi de cours extraordinaires sur l’art, qui m’offrent une nouvelle perception et vont m’aider à m’engager avec encore plus de passion et de connaissances au service de l’artisanat d’art luxembourgeois. C’est une occasion unique et une chance immense d’avoir pu ainsi consacrer une année entière à un sujet particulier. Le week-end, nous allions beaucoup au musée, voir des expositions, Londres est une ville monde, rayonnante et foisonnante. Nous profitions aussi beaucoup de la campagne anglaise. Une vie tout à fait normale. C’était la première fois que nous habitions tous les deux dans une ville autre que Luxembourg.
Vous, Monseigneur, quels souvenirs d’enfance gardez-vous de ce château de Fischbach, ici, où vous avez grandi ?
G. d. L. : C’est la maison de famille par excellence. Cela a toujours été un lieu d’accueil et de rassemblement. De retrouvailles. Un endroit heureux. Mon arrière-grand-mère, la grande-duchesse Charlotte, avait une passion pour Fischbach, c’est d’ailleurs elle qui a donné son âme à cette demeure. Mes parents aussi, qui ont passé ici les premières années de leur mariage et ont adoré. Mon grand-père et ma grand-mère y ont passé leurs dernières années. Chaque génération a laissé
son empreinte, que ce soit dans le jardin ou dans la maison proprement dite. Pour ma part, j’ai grandi ici jusqu’à l’âge de 15 ans et les forêts d’alentour n’ont plus de secrets pour moi. C’est un endroit magique pour un enfant.
Un lieu où l’on sent que les enfants sont rois…
G. d. L. : Oui, il y a toujours la salle de jeux au rez-dechaussée et la petite cabane dans les bois. Et plein de coins secrets. C’est vous dire que je vais me faire une joie de montrer tout cela à notre enfant. Et peut-être même ce qu’il ne faut pas faire.
S. d. L. : On verra ça, heureusement, il aura une mère aussi, pour veiller au grain !
G. d. L. : Il y a un beau souvenir aussi que j’ai ici avec mon père. Il aimait beaucoup nous emmener en forêt, sur les chemins. Il nous faisait cuire des marrons et nous racontait des histoires de contes de fées de son invention. Tradition de papa. Et il finissait toujours en nous disant, « la suite au prochain épisode ». C’était fantastique. Il l’a fait pour chacun de mes frères et soeur. Un peu comme un rite.
Vous avez attendu longtemps la joie d’être parents. Que vous a apporté cette attente ? En quoi vous a-t-elle enrichis ?
S. d. L. : En tant que couple, nous avons passé beaucoup de temps à deux. Nous travaillons ensemble, nous allons le faire toute notre vie, je trouve très enrichissant d’avoir pu nous construire ainsi toutes ces années. Être à trois, tout le monde le dit, et ce doit être vrai, change beaucoup les choses. Les parents ont moins de temps pour eux, pour parler, pour grandir aussi ensemble en tant que couple. Nous, c’est un travail qui est fait, qui est acquis et on ne pourra pas nous l’enlever. C’est précieux.
Quelle conscience de la parentalité vous a donné cette attente ?
S. d. L. : C’est difficile à dire, j’ignore comment nous aurions été si nous l’avions été plus tôt. Ce qui est sûr, c’est que nous réalisons pleinement ce qui nous arrive.
G. d. L. : L’attente d’un enfant est toujours une joie, et là encore davantage, car c’est une joie qui succède à une période d’attente. C’est beau, car de plus en plus de gens commencent à nous parler de leur propre expérience et nous découvrons beaucoup de couples qui ont, eux aussi, dû attendre longtemps. Une sorte de complicité se crée. Le jour de l’annonce était l’un des moments les plus émouvants que j’ai vécus ici, au Luxembourg. Nous avons senti tout à coup une joie profonde dans toute la population. Même ceux qui adhèrent moins à la monarchie étaient heureux pour nous.
S. d. L. : Un bébé, c’est une joie universelle, c’est une lumière qui rassemble.
G. d. L. : Oui, et c’est vraiment ce que nous avons ressenti. Nous avons eu la chance d’aller au marché de Noël quelques jours plus tard, et là les gens nous arrêtaient, nous félicitaient. Comme si les barrières institutionnelles qui peuvent parfois exister étaient toutes tombées.
Comment vous préparez-vous à cette naissance ?
S. d. L. : Un peu comme tout le monde. Nous regardons les pyjamas et les poussettes.
G. d. L. : J’accompagne mon épouse.
S. d .L. : Je l’ai forcé. Non, je n’ai pas eu à le forcer trop longtemps.
G. d. L. : Pas du tout, même.
S. d. L. : Je trouve cela très émouvant de regarder ces petites affaires, ces petits pyjamas avec des nounours, tout mignons, je craque…
G. d. L. : On se projette, on imagine…
S. d. L. : On prépare aussi la chambre du bébé, on choisit les rideaux, c’est presque quelque chose d’initiatique. On cherche des prénoms, on y réfléchit beaucoup mais nous n’avons pas encore trouvé celui qui s’imposera comme une évidence.
G. d. L. : Il y a deux grands secrets, le prénom et le sexe du bébé.
S. d. L. : Nous connaissons l’un des deux et l’autre pas encore.
Recevez-vous l’un et l’autre des conseils de vos parents ?
G. d. L. : Mes parents n’arrêtent pas, dès que Stéphanie n’est pas là. C’est très mignon parce que souvent ils me disent comment je dois me comporter vis-à-vis de Stéphanie…
S. d. L. : Lui apporter des fraises, du chocolat.
G. d. L. : Tout ce qui est naissance et ce qui va suivre va être un véritable apprentissage.
S. d. L. : Cela ne nous fait pas peur, nous venons l’un et l’autre d’une famille nombreuse et nous sommes bien entourés.
« Je trouve ça émouvant de regarder ces petits pyjamas. » Stéphanie de Luxembourg
Votre enfant va naître avec un poids particulier sur les épaules, en tant
que futur souverain ou future souveraine. Comment allez-vous à la fois le préserver de ce poids et le préparer à l’accepter ?
G. d. L. : J’ai bien connu cela et j’aime l’approche que mes parents avaient eue à l’époque : nous protéger au maximum. C’est toujours assez sensible et compliqué de trouver le moment où l’enfant aborde un rôle public, mais il faut lui permettre de rester un enfant. L’éducation va l’aider à comprendre ses responsabilités, sans l’empêcher de vivre pleinement son enfance et son adolescence. J’ai assez vite compris que j’avais un destin à part. Vu le contexte dans lequel on grandit, on remarque très rapidement qu’on est différent des autres et les autres enfants vous le font remarquer aussi. Il faut vivre avec cela et accepter pleinement cette réalité. Les parents jouent là un rôle-clef.
S. d. L. : Je n’appréhende pas cette situation-là, mais je crois qu’il faut y être attentifs. L’enfant a besoin d’un cercle sécurisant autour de lui. Ce n’est qu’une fois qu’il sera construit, lui, qu’il pourra donner aux autres.
Par-dessus tout, que souhaitez-vous donner à cet enfant ? Et lui transmettre ?
S. d. L. : Le meilleur et puis, comme tous parents, nous ferons avec ce que nous sommes.
G. d. L. : Beaucoup d’amour en tout cas, l’aider à s’épanouir.
S. d. L. : Je voudrais que mon enfant se sente en sécurité dans sa famille. C’est vraiment très important. Le monde extérieur devient de plus en plus complexe. Qu’il ait un endroit paisible où se ressourcer.
G. d. L. : Comme l’ont fait mes parents avec moi, j’aimerais lui transmettre la manière d’interagir avec le monde de façon simple et en même temps respectueuse, le sens du service. Et puis j’aimerais lui transmettre la foi. C’est une belle richesse dont on profite chaque jour. La foi nous aide à respecter davantage le monde, cette nature et cette planète qui nous ont été confiées, et à se mettre toujours plus au service de l’autre. 
 
”Este bebé era nuestro secreto ".
"Este bebé era el secreto de los dos"


Stéphanie y Guillaume de Luxembourg abrieron las puertas de su residencia privada en Point de Vue. El señorío de Fischbach se remonta al siglo XI, el castillo actual en el siglo XVII y entró en la familia granducal en el siglo XIX. El gran duque heredó allí los primeros quince años de su vida. Pequeño té para dos junto al fuego, un momento tierno y tranquilo, ideal para pensar en el nombre del feto.

Stéphanie y Guillaume de Luxemburgo
Un mes después del anuncio oficial del embarazo de la heredera-gran duquesa, los futuros padres reciben a Point de Vue en su casa en este castillo en Fischbach, donde han crecido varias generaciones de príncipes y grandes duques de Luxemburgo. Tiempo para una entrevista exclusiva, llena de alegría y emoción.

Señora, Monseñor, ¿cuál fue su reacción cuando escuchó esta gran noticia?

Guillaume de Luxemburgo: ¡Fue un aullido de alegría!
Stéphanie de Luxembourg: Fue sobre todo usted quien gritó.

G. d. L .: Sí, lo admito. Pero tú también. Hemos estado esperando este momento durante mucho tiempo.
S. d. L .: Ambos estábamos en casa aquí en Fischbach. Le dije: "¿Adivina qué? "
G. d. L .: Respondí: "¿No? "Lo adiviné de inmediato, tan pronto como regresó, lo supe por su aspecto.

Señora, ¿cómo va su embarazo?

S. d. L .: Maravillosamente bien, el bebé se mueve constantemente. Empecé a organizar mi horario. Estoy bastante tranquilo y ya no hago muchos viajes al extranjero, fuera de Europa.

G. d. L .: Entonces, en la próxima misión económica, lo haré solo, lo cual es completamente normal.

¿Cuándo notificó al Gran Duque y a la Gran Duquesa?

G. d. L .: Esperamos tres meses, ambos eran nuestros secretos. Y luego lo anuncié primero a mi familia cercana y luego lo suficientemente rápido a todos los tíos y tías, primos ... Y a ti, de hecho, lo mismo.
S. d. L .: Manteniendo esta felicidad para nosotros durante tres meses, este tiempo suspendido, fue genial, algo más que compartimos juntos, con el bebé que ya era parte de la pequeña familia, que era nuestro polizón.

¿Y las reacciones de tus padres, Monseñor?

G. d. L .: Los tomamos por sorpresa. No creo que lo esperaran. En cualquier caso, no en ese momento. La palabra euforia no es demasiado fuerte. Mi madre tenía lágrimas en los ojos. Fue una alegría para nosotros, también un alivio, estos dos sentimientos encontrados, lo que hizo que mi padre y mi madre estuvieran bajo el cuidado, yo diciendo: "Ahora tienes que cuidar a Stéphanie, debes protegerla bien. "Fue realmente conmovedor. Y mis hermanos y mi hermana también estaban aquí para rodearnos. Los invitamos a todos a cenar con mis padres con el pretexto de mostrarles los nuevos arreglos que habíamos hecho en Fischbach.
S. d. L .: En resumen, una fiesta de inauguración familiar.
G. d. L .: Funcionó para algunos, pero mi hermano Félix no lo creyó ni por un segundo.
S. d. L .: Por mi parte, no logré que todos estuvieran en la misma habitación al mismo tiempo. Somos mas numerosos. Para algunos, pude decirlo oralmente, a otros por teléfono, pero todos expresaron la misma euforia que mis suegros y mis cuñados y cuñadas. Pude notificar a cada uno por separado, personalmente.

¿Y cómo fueron las vacaciones de Navidad en Suiza, la última que pasaste sin hijos?

G. d. L .: Todos querían saber cómo iba. Alrededor de la mesa del desayuno, nos preguntaron si el bebé se había movido por la noche, etc. Pasamos esta última Natividad imaginándonos a nosotros mismos un año después, cuando todos estos sobrinos y sobrinas del lado de Stéphanie y de mi lado tendrían un primo pequeño o un primo pequeño además. Fue una hermosa navidad. Con todos nuestros hermanos y hermanas reunidos, lo cual es muy raro.
S. d. L .: Incluso es la primera vez desde que nos casamos que los hermanos están llenos en Navidad. Un hermoso guiño de Providence.

¿Qué recuerdos guardas de este año en Londres?

G. d. L .: En lo que a mí respecta, mi entrenamiento en el Royal College of Defense Studies fue mucho más allá del estricto marco militar. Estábamos inmersos en campos tan variados como la geopolítica, los asuntos exteriores, la gestión, y eso no solo con oficiales, sino también con diplomáticos, actores del sector privado. Y esta experiencia fue muy enriquecedora para mí, me abrió los ojos a muchos países, su mentalidad, su cultura ... Especialmente porque éramos un grupo muy internacional, compuesto en un 70% por no británicos, que perspectivas ofrecidas, un espectro muy amplio de lo que está sucediendo en el mundo. Y luego, pudimos vivir allí un año solo para dos, un año emocionante y maravilloso, y ahora que hemos regresado a Luxemburgo, la vida comienza a las tres.
S. d. L .: En cuanto a mí, me beneficié de cursos extraordinarios sobre arte, que me ofrecen una nueva percepción y me ayudarán a comprometerme con aún más pasión y conocimiento al servicio de la artesanía. Arte luxemburgués Es una oportunidad única y una gran oportunidad de haber podido dedicar un año entero a un tema en particular. Los fines de semana, íbamos mucho al museo, para ver exposiciones, Londres es una ciudad mundial, radiante y abundante. También aprovechamos la campiña inglesa. Una vida completamente normal. Era la primera vez que ambos vivíamos en una ciudad que no era Luxemburgo.

Usted, Monseñor, ¿qué recuerdos de infancia guarda de este castillo de Fischbach, aquí, donde creció?

G. d. L .: Es la casa familiar por excelencia. Siempre ha sido un lugar de bienvenida y reunión. Reunión Un lugar feliz Mi bisabuela, la Gran Duquesa Charlotte, tenía pasión por Fischbach, fue ella quien entregó su alma a este hogar. Mis padres también, que pasaron los primeros años de su matrimonio aquí y lo amaron. Mi abuelo y mi abuela pasaron sus últimos años allí. Cada generación se ha ido su impronta, ya sea en el jardín o en la casa misma. Personalmente, crecí aquí hasta los 15 años, y los bosques circundantes no tienen secretos para mí. Es un lugar mágico para un niño.
Un lugar donde sentimos que los niños son reyes ...
G. d. L .: Sí, siempre está la sala de juegos en la planta baja y la pequeña cabaña en el bosque. Y lleno de rincones secretos. Es decir que voy a estar feliz de mostrarle todo esto a nuestro hijo. Y tal vez incluso qué no hacer.
S. d. L.: ¡Veremos que, afortunadamente, él también tendrá una madre para cuidar el grano!
G. d. L .: También hay un hermoso recuerdo que tengo aquí con mi padre. Realmente le gustaba llevarnos al bosque, en los caminos. Nos cocinó castañas y nos contó historias de cuentos de hadas de su invento. La tradición de papi. Y siempre terminaba diciéndonos "después del próximo episodio". Fue fantastico. Lo hizo por cada uno de mis hermanos y hermanas. Un poco como un rito.

Has esperado mucho tiempo la alegría de ser padre. ¿Qué te trajo esta expectativa? ¿Cómo te ha enriquecido?

S. d. L .: Como pareja, pasamos mucho tiempo juntos. Trabajamos juntos, lo haremos toda nuestra vida, me resulta muy enriquecedor haber podido construirnos todos estos años. Tener tres años, dicen todos, y debe ser cierto, cambia mucho. Los padres tienen menos tiempo para hablar, crecer juntos como pareja. Somos un trabajo hecho, adquirido y no podemos quitarlo. Es precioso

¿Qué conocimiento de la paternidad te dio esta expectativa?

S. d. L .: Es difícil decir, no sé cómo hubiéramos sido si hubiéramos estado antes. Lo cierto es que nos damos cuenta de lo que nos está sucediendo.
G. d. L .: Esperar a un hijo siempre es una alegría, y más aún, porque es una alegría que sigue a un período de espera. Es hermoso porque cada vez más personas comienzan a contarnos sobre su propia experiencia y estamos descubriendo muchas parejas que también han tenido que esperar mucho tiempo. Se crea una especie de complicidad. El día del anuncio fue uno de los momentos más conmovedores que tuve aquí en Luxemburgo. De repente sentimos una profunda alegría en toda la población. Incluso aquellos que se unieron menos a la monarquía se alegraron por nosotros.
S. d. L .: Un bebé es una alegría universal, es una luz que une a las personas.
G. d. L .: Sí, y eso es realmente lo que sentimos. Tuvimos la suerte de ir al mercado navideño unos días después, y allí la gente nos detuvo y nos felicitó. Como si las barreras institucionales que a veces pueden existir se hayan derrumbado.

¿Cómo te estás preparando para este nacimiento?

S. d. L .: Como todos los demás. Estamos viendo pijamas y cochecitos.
G. d. L .: Estoy acompañando a mi esposa.
S. d .L. : Lo forcé. No, no tuve que forzarlo demasiado.
G. d. L .: Para nada, incluso.
S. d. L .: Me parece muy conmovedor mirar estas pequeñas cosas, estos pequeños pijamas con ositos de peluche, todo lindo, me rompo ...
G. d. L .: Nos proyectamos, imaginamos ...
S. d. L .: También preparamos la habitación del bebé, elegimos las cortinas, es casi algo asiático. Estamos buscando nombres, lo pensamos mucho pero aún no hemos encontrado el que se destaque como obvio.
G. d. L .: Hay dos grandes secretos, el nombre y el género del bebé.
S. d. L .: Conocemos uno de ellos y el otro aún no.
¿Recibes algún consejo de tus padres?
G. d. L .: Mis padres no se detienen cuando Stéphanie no está allí. Es muy lindo porque a menudo me dicen cómo debo comportarme con Stéphanie ...
S. d. L .: Traedle fresas, chocolate.
G. d. L .: Todo lo que nace y lo que sigue será un verdadero aprendizaje.
S. d. L .: No le tenemos miedo, ambos venimos de una familia numerosa y estamos bien rodeados.

"Me resulta emocionante mirar estos pequeños pijamas. »Stéphanie de Luxemburgo

Su hijo nacerá con un peso especial en los hombros, como que futuro soberano o futuro soberano. ¿Cómo vas a mantenerlo alejado de este peso y prepararlo para aceptarlo?

G. d. L .: Lo sabía bien y me gusta el enfoque que tenían mis padres en ese momento: protegernos lo más posible. Siempre es bastante sensible y complicado encontrar el momento en que el niño se acerca a un rol público, pero debe permitirse que siga siendo un niño. La educación lo ayudará a comprender sus responsabilidades, pero no le impedirá vivir plenamente su infancia y adolescencia. Rápidamente me di cuenta de que tenía un destino aparte. Dado el contexto en el que crecemos, nos damos cuenta rápidamente de que somos diferentes de los demás y otros niños también se lo señalarán. Tienes que vivir con eso y aceptar plenamente esta realidad. Los padres juegan un papel clave aquí.
S. d. L .: No entiendo esta situación, pero creo que debemos estar atentos a ella. El niño necesita un círculo seguro a su alrededor. Es solo una vez que se construye que puede dar a otros.

Sobre todo, ¿qué quieres darle a este niño? ¿Y pasárselo a él?

S. d. L .: Lo mejor y luego, como todos los padres, haremos lo que somos.
G. d. L .: Mucho amor de todos modos, ayudándolo a florecer.
S. d. L .: Me gustaría que mi hijo se sintiera seguro en su familia. Es realmente muy importante. El mundo exterior se está volviendo cada vez más complejo. Deja que tenga un lugar tranquilo para relajarse.
G. d. L .: Al igual que mis padres hicieron conmigo, me gustaría enseñarle la manera de interactuar con el mundo de una manera simple y al mismo tiempo respetuosa, el sentido del servicio. Y luego me gustaría transmitirle la fe. Es una gran riqueza que disfrutamos todos los días. La fe nos ayuda a respetar más el mundo, esta naturaleza y este planeta que nos han sido confiados, y ponernos cada vez más al servicio del otro.

Mil gracias @Ginger2
 
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