Compromiso y boda entre Jean Christophe Napoleón & Olympia von and zu Arco-Zinneburg

Artículo de archivo de Point de Vue de 2017, recién lo acaban de volver a subir

Le prince Napoléon, un homme d'avenir
Il porte l'un des noms les plus célèbres au monde. Et lui fait honneur en traçant sa voie avec panache. Le prince Napoléon, chef de la maison impériale depuis vingt ans, n'a qu'un seul credo: le mérite. Son MBA (Master of Business Administration), bientôt décroché à Harvard, apportera une nouvelle pierre à son édifice. Rencontre avec un prince plus que charmant.

Il se prête volontiers au jeu des prises de vue. Nous guidant vers les plus jolis lieux de part et d'autre de la rivière Charles. Acceptant de sacrifier son écharpe pour laisser apparaître le col de sa chemise bleue assortie à ses yeux ou d'enfiler un sweat siglé Harvard, la prestigieuse université de Boston où il effectue son MBA. Ses réserves, il les manifeste lors de l'interview. Sortant son joker à l'évocation de sa vie sentimentale et des affaires secouant le monde politique français.

À 30 ans, le prince Napoléon sait ce qu'il veut. Il martèle ces mots tel un mantra: "acquérir mon mérite, mes compétences, ma crédibilité." Pour prendre à l'avenir des responsabilités publiques ou politiques? Chaque chose en son temps. Il se concentre, pour l'heure, sur son parcours dans le monde des affaires.

Monseigneur, vous avez eu, depuis votre diplôme à HEC en 2011, une expérience significative dans la finance, à Londres et à New York. Pourquoi effectuer aujourd'hui un MBA à Harvard?

Qui n'a jamais rêvé d'étudier dans une université aussi prestigieuse! Les professeurs sont parmi les plus réputés et les étudiants viennent de tous horizons. Dans le monde des affaires, le MBA est très valorisé. Tout comme le fait d'avoir une éducation et un réseau à l'international. L'éducation américaine est très concrète. Elle favorise la prise de parole et le débat. Elle est complémentaire du système français plus théorique et académique. Mais je ne suis pas le premier Bonaparte à étudier à Harvard. Le premier, Charles Joseph, vient d'une branche américaine descendant de Jérôme. Il fut ministre de la Justice sous Theodore Roosevelt et, ce qui est assez étonnant, fut aussi le fondateur du FBI. Mes amis américains n'en reviennent toujours pas.

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Le prince Napoléon devant la Charles River, qui sépare les villes de Boston et Cambridge. Courtesy of Luc Castel
Vous serez diplômé en avril prochain. Quel avenir envisagez-vous?

Je vais retourner travailler à Londres dans un fonds d'investissement en private equity qui soutient des entreprises européennes dans leur développement. Je serai donc basé en Angleterre, mais j'irai très souvent en France, comme dans le reste de l'Europe, afin de rencontrer des chefs d'entreprise.

Dans son testament, votre grand-père le prince Louis-Napoléon vous a désigné comme chef de la maison impériale...

J'ai toujours été très fier de porter ce nom, mais j'insiste: sans vivre dans le passé ni dans l'illusion. Je suis quelqu'un de mon temps, tourné vers l'avenir. Napoléon, c'est pour moi l'idée de progrès -ce que pensait mon grand-père. Il disait aussi: 'Je sers, mais je ne prétends pas.' Moi non plus, je ne prétends pas avoir plus de droits ou de privilèges que d'autres. Les Bonaparte ont toujours été des hommes modernes, des avant-gardistes, qui à leur époque ont fait avancer leur pays. J'ai la ferme intention de poursuivre ainsi l'héritage. Je le vois comme une exigence, un devoir au service de la France.

Vous n'aviez que 11 ans, en 1997, lorsque vous avez reçu cette dignité. Quel souvenir en conservez-vous?

La mort de mon grand-père, ce fut d'abord une grande tristesse. Je me souviens des cérémonies très émouvantes aux Invalides et à la Chapelle impériale d'Ajaccio. Je me souviens aussi du moment où maître Varaut m'a lu son testament dynastique. J'étais jeune, j'ai mis du temps à comprendre toute sa signification. Mais je savais que c'était quelque chose d'important, qui allait influencer ma vie.

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Depuis son entrée en 2015 à la Harvard Business School, l'une des écoles de management les plus réputées du monde, le prince Napoléon fréquente régulièrement la Baker Library. Courtesy of Luc Castel
Quels liens aviez-vous avec votre grand-père?

J'avais beaucoup d'affection pour lui, et réciproquement. Beaucoup d'admiration et de respect. J'étais aussi très impressionné par sa grande taille [le prince Napoléon mesure aujourd'hui 1,98 mètre, ndlr]! Je regrette de ne pas l'avoir connu adulte. Je pense que nous nous serions très bien entendus. Il avait beaucoup de valeurs, le sens du devoir. Il a fait preuve de courage en s'engageant dans la Légion étrangère, puis dans la Résistance du côté de la France libre et du général de Gaulle. Il était aussi très généreux: il a cédé une grande partie des collections impériales de la famille à l'État. C'est pour moi quelqu'un d'exemplaire.

Comment votre père, le prince Charles Napoléon, a-t-il vécu votre désignation en tant que chef de la maison impériale à son détriment?

Je pense que cela n'a pas été facile pour lui. Évidemment, nous avons eu plusieurs discussions, mais aujourd'hui nous avons de très bons rapports, et c'est ce qui est le plus important.

Votre père a longtemps été engagé politiquement, notamment aux côtés des autonomistes corses. Débattez-vous de vos idées respectives?

Bien sûr, car nous nous intéressons beaucoup à la chose publique. Nos débats, sur l'économie en particulier, sont animés! J'ai tendance à être plus libéral, à faire davantage confiance aux forces de travail et à privilégier le mérite. Il serait peut-être plus étatiste. Après tout, ces deux courants réunis en une même stratégie correspondent bien à la tradition Bonaparte.

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Au cours de son MBA, il s'est fait des amis du monde entier, lesquels feront partie de son réseau international. Ils partent en week-end d'études dans la Silicon Valley, à Los Angeles ou à Cuba, à la rencontre de chefs d'entreprise. Courtesy of Luc Castel
Qu'en est-il de votre mère, la princesse Béatrice de Bourbon-Siciles?

Ma mère est extrêmement aimante. Elle a su me protéger, me soutenir et m'encourager. Je lui en suis très reconnaissant. Tous les membres de ma famille, notamment ma soeur Caroline, m'ont aidé à trouver un certain équilibre. À remplir mes responsabilités familiales en me faisant comprendre que la seule manière de faire honneur à cet héritage, c'est d'être indépendant, d'acquérir son mérite par le travail et non par le nom. C'est pour cette raison que je me suis beaucoup axé sur mes études et ma carrière: pour être libre, acquérir des compétences et une crédibilité qui me permettront de prendre, peut-être à l'avenir, des responsabilités publiques ou politiques.

Quel rôle, en particulier, a joué votre grand-mère, la princesse Napoléon, dans la transmission des valeurs et des traditions de la famille impériale?

Ma grand-mère est une personnalité admirable et exemplaire. Elle m'apporte beaucoup d'affection et de conseils. Je lui dois énormément. Elle a su me transmettre la signification de l'héritage Bonaparte et m'initier aux différentes responsabilités familiales comme la messe du 5 mai en la cathédrale Saint-Louis-des-Invalides, que nous organisons, en pleine coopération avec nos autorités militaires, à la mémoire de l'empereur Napoléon Ier et des soldats morts pour la France. Elle est également très active auprès de toutes les institutions liées à la famille. Elle est sa mémoire.

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Le prince Napoléon décrochera son MBA en avril, puis ira travailler dans un fonds d'investissement à Londres. Courtesy of Luc Castel
Par votre mère, vous êtes également Bourbon. De votre prestigieuse ascendance, ne retirez-vous pas une certaine pression?

Descendre à la fois des rois et des empereurs qui ont contribué, avec le peuple français, à façonner ce pays est une chance unique dont je suis fier. Elle ne fait que renforcer ma volonté d'engagement au service de la France. Le hasard de la naissance me place au carrefour de ce qui fait la richesse et la complexité de notre pays. Il serait étrange que je ne participe pas comme citoyen à toute action qui permettrait, comme le disait le général de Gaulle, "d'épouser son temps". L'héritage Bonaparte est en revanche plus actuel et bénéfique que l'héritage purement royaliste, car directement lié au début de la démocratie et de la République en France. Louis-Napoléon Bonaparte a été le premier président de la République élu au suffrage universel.

Vous qui vous êtes toujours passionné pour la politique, pourquoi vous êtes-vous lancé dans la finance?

J'ai choisi de commencer ma carrière dans le monde des affaires, parce que j'estime que c'est la meilleure manière de faire mes preuves. Mais aussi de mieux comprendre les problèmes et la complexité du monde d'aujourd'hui. D'autre part, une carrière dans les affaires n'empêche pas de prendre par la suite des responsabilités publiques, comme on peut désormais le constater en France ou ailleurs. Il est même préférable que nos responsables aient des expériences en entreprise afin d'analyser les leviers de la création d'emplois et de richesses.

Vous engagez-vous d'ores et déjà?

Je suis de très près l'actualité française, mais il est difficile de s'engager depuis les États-Unis. En attendant, mon expatriation me permet de mieux identifier les atouts et les faiblesses de la France. On gâche notre potentiel. Beaucoup de nos politiques ne se rendent pas compte que, du jour au lendemain, les talents, les entrepreneurs, les entreprises et les capitaux peuvent traverser les frontières. Nous avons basculé dans un nouveau monde. Il faut s'adapter et faire les réformes nécessaires pour être plus compétitif et attractif, s'ouvrir et ne pas tomber dans le piège de la démagogie ni céder aux tentations protectionnistes et isolationnistes. Et si notre modèle d'intégration ne semble plus fonctionner, ce ne sont pas nos valeurs, d'ailleurs universelles, qui sont en cause, c'est leur oubli et parfois même leur reniement.

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De 2011 à 2015, il a eu déjà une expérience significative dans le monde des affaires, à Londres et à New York. Courtesy of Luc Castel
Seriez-vous plutôt pour une politique de rigueur ou de relance?

Ces deux politiques ne sont, à mon avis, pas contradictoires. Il est évident qu'il faut réduire notre endettement. La seule manière de le faire, c'est de diminuer nos dépenses, et non d'augmenter les charges. Je n'ai rien contre les fonctionnaires, qui font un travail formidable, mais je pense qu'il y en a trop. Regardons dans les autres pays! Il faudrait aussi réduire les charges pour rendre les entreprises plus attractives et ainsi créatrices d'emplois.

Il y a cinq ans, vous nous confiez être très optimiste pour l'avenir de l'Europe. Au regard des nouvelles donnes politiques (montée des populismes, Brexit, élection de Donald Trump), votre point de vue a-t-il changé?

J'ai été très déçu par le Brexit. Je pense malheureusement que cela va affaiblir aussi bien l'Europe que l'Angleterre. Mais peut-être que l'Union européenne arrivera plus facilement à se réformer sans l'Angleterre à sa table. Je reste optimiste pour l'avenir de l'Europe parce que nos peuples, au-delà des mécontentements et des déceptions, se rendront compte que l'unité sera le moyen le plus efficace de défendre nos identités respectives et nos intérêts. Et aussi de prendre part à la définition d’un nouvel ordre mondial qui ne dépend plus exclusivement de Paris, Londres et Berlin, mais également de Washington, Moscou et Pékin. Il faut que l’Europe rebondisse, mais sur de meilleures bases. Nous avons tous les atouts pour réussir, c’est une question de volonté, de lucidité et de légitimité.

Quant à l’élection de Donald Trump?

J’ai été très choqué par les récentes décisions ciblant des pays à majorité musulmane. Des manifestations ont été organisées à Harvard. Le proviseur a dénoncé ce décret et a justement constaté que près de la moitié des proviseurs de l’université étaient des immigrants de la première génération. Une amie étudiante à moitié iranienne ne peut pas prendre le risque de quitter le sol américain, de peur de ne pas pouvoir revenir terminer ses études. Cela ne reflète pas les valeurs des États-Unis qui ont une formidable capacité d’intégration. Et cela envoie un très mauvais signal, aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur. Les États-Unis ne peuvent pas prendre la voie du protectionnisme et de l’isolationnisme.

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À 30 ans, le prince Napoléon sait ce qu'il veut: "acquérir mon mérite, mes compétences, ma crédibilité." Courtesy of Luc Castel

http://www.pointdevue.fr/familles-r.../le-prince-napoleon-un-homme-davenir_314.html
 
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Pues felicidades ya llevaban mucho tiempo de novios, la familia de ella son bastante snobs
 
Robaron el anillo de compromiso que Jean-Christophe le dió Olympia :banghead:
Se trata de un diamante de 40 kilates que perteneció a la emperatriz Eugenie de Montijo. Está valuado en más de 1 millón de euros.
Fue sustraído del auto de la condesa en el distrito 6 de París junto a documentos, tarjetas de crédito y un ordenador.

http://www.leparisien.fr/faits-dive...n-vol-de-bague-a-paris-05-04-2019-8047248.php

https://www.marieclaire.com/culture...g-stolen-countess-olympia-von-arco-zinneberg/

roban mucho en Paris...
no es un sitio para llevar joyones.
 
Mi jean Christophe :cry: De los pocos solteros guapos de la realeza que quedaban. Les deseo lo mejor y ojalá que sean muy felices :)

es el tercero en discordia pretendiente al no trono de Francia, junto con nuestro Alfonso Borbon.
ella salía en el Hola junto a su colección de hermanas en su casa familiar del caribe, donde nos contaba que tenían inversiones.

a él se le ve cara de braguetazo, a pesar de no necesitarlo, y supuestamente pasar olímpicamente de apellidos... mmmm.....
 
Robaron el anillo de compromiso que Jean-Christophe le dió Olympia :banghead:
Se trata de un diamante de 40 kilates que perteneció a la emperatriz Eugenie de Montijo. Está valuado en más de 1 millón de euros.
Fue sustraído del auto de la condesa en el distrito 6 de París junto a documentos, tarjetas de crédito y un ordenador.

http://www.leparisien.fr/faits-dive...n-vol-de-bague-a-paris-05-04-2019-8047248.php

https://www.marieclaire.com/culture...g-stolen-countess-olympia-von-arco-zinneberg/

Que hacia esta mujer dejando un anillo de 40 kilates en un auto? primero 4o kilates tendria el tamaño de un melon, me parece demasiado grande, pero dejarlo en un coche? me suena a fraude mas que otra cosa, la verdad ... ya dejar tarjeta de credito y un ordenador quien es el tonto que lo hace, un anillo con esa carga historica? y su anillo de compromiso, no lo lleva en el dedo? que hace en la guantera?
 
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