Charlotte Casiraghi escribe un libro

Sin ánimo de ofender, Charlotte lleva y tiene una vida ociosa.
Sus amigas son igual de ricachonas y millonarias que ella.
Tener una galería de arte lujosa o que su cuñada tenga una marca de productos étnicos de lujo, me da a entender que si los negocios fracasan no pasa nada porque ellas no se arruinan,los tienen por hacer algo en esta vida más allá de irte de vacaciones a paraísos o tener hijos o ir por obligación a los eventos de Mónaco.
El libro no deja de ser un conjunto de reflexiones de temas cotidianos/existenciales que cualquier filósofo prolífico ha tratado previamente como Francesc Torralba.
Charlotte tiene mucho tiempo libre para leer, para graduarse,para montar esas jornadas filosóficas, para tener novio, para montar a caballo, para salir en tv para promocionar su libro, para ir al baile de la Rosa de Mónaco, para publicitar a Gucci... en fin una vida de lujo.
No es nada nuevo que las mujeres con dinero hagan algo así, interesarse por el arte y estar en círculos intelectuales y ser mecenas de artistas y escritores y hasta de diseñadores, desde reinas, cortesanas y mujeres con mucho dinero, en la historia se puede ver que se codeaban con intelectuales y demás vanguardistas y los patrocinaban, reinas como Maria de Medici, cortesanas como Diana de Poitiers, aristocratas como Marella Agnelli y la misma Marta Marsotto, no veo el porque una persona con dinero no pueda tener intereses intelectuales y ser juzgada por tenerlos solo porque es rica.
 
No quiero prejuzgar antes de leer el libro pero no me sorprende la noticia. Esta gente tiene la vida asegurada desde lo económico, ese mismo dinero y el apellido que les abre puertas y conexiones les permite hacer cualquier tipo de hobbie que se les ocurra por muy caro o excéntrico que sea con la misma facilidad que uno hace un té en su casa. Un día se levantan con ganas de cantar y cantan, con ganas de sacar una marca de ropa y lo hacen o con ganas de correr un rally y eso hacen. En cuanto se cansan o se aburren a otra cosa mariposa y todos contentos. Pasan del modelaje a diseñar joyas a escribir libros o a lo que se les antoja y ya.

Totalmente de acuerdo una vez más, a ver quien es el guapo de la Editorial que le rechace publicar el librito....Viven mariposeando entre hobbies, deportes, amorios, yates y un pincelada arty o cultureta para quedar bien. No hacen daño a nadie y nos entretienen, eso es verdad.
 
En serio creéis únicamente la imagen que transmiten las fotos de las revistas? Charlotte es super culta, ha leído muchísimo siempre, le encanta la poesia por ejemplo y gracias a las relaciones de su familia ha tenido la suerte de codearse con gente muy interesante desde que nació, su madre no solo se relaciona con Karl Lagerfeld y con el mundo de la moda, los fotógrafos no la pillan las 24 horas del dia 7/7 y lo que hace en su casa nadie lo ve, sin ir mas lejos de lo que todos habéis visto, su ex Alex regenta una galería de arte mega reconocida, su mejor amiga de infancia es hija del director del ballet de Montecarlo, la veis superficial en desfiles y en fotos para Gucci pero eso es 1% de su vida.

Solo una fan de Vaga podría hacer semejante afirmación.
 
Solo una fan de Vaga podría hacer semejante afirmación.
Otra afirmación, un poquito mas larga que la mía y mejor escrita.


Femme de tête
Charlotte Casiraghi, la philosophe du Rocher
Sa beauté et son mystère font vivre la mythologie du Rocher. La petite-fille de Grace Kelly n’ignore rien du star-system et s’en accommode tout en déjouant les apparences. Charlotte Casiraghi, présidente des Rencontres philosophiques de Monaco, a confié à Élisabeth PHILIPPE les passions qui la guident. Cet article est paru dans le numéro de novembre 2016 de « Vanity Fair ».

On a d’abord cru à une hallucination. Un article signé Charlotte Casiraghi dans le quotidien Libération. La critique d’un livre de philo, qui plus est. Défense du secret d’Anne Dufourmantelle. C’était le 28 novembre 2015, non le 1er avril, et l’auteur du texte était présentée ainsi : « Charlotte Casiraghi, présidente des Rencontres philosophiques de Monaco. » D’elle, jusque-là, on connaissait surtout l’image. Des clichés, volés la plupart du temps, à la une des magazines people plutôt qu’en couverture de la revue Esprit. La presse à sensation déroule presque chaque semaine le feuilleton Charlotte de Monaco : ses histoires d’amour et ses peines de cœur, réelles ou supposées, la naissance de son fils Raphaël en 2013, ses vacances, cet été, à bord du Pacha III. Autant d’épisodes alimentant à l’infini la saga de la famille princière de Monaco, aussi interminable que Les Feux de l’amour. Le Rocher s’est transformé en décor de carton-pâte pour soap opera en 1956, année du mariage du prince Rainier et de la star hollywoodienne Grace Kelly. Glamour, tragédies et monarchie. Depuis, dans l’imaginaire collectif, la principauté, c’est le casino de Monte Carlo et lebal de la Rose, les voitures de luxe et les milliardaires russes, les buildings sans âme et les bimbos sans âge. Même si elle n’est que huitième dans l’ordre de succession au trône de Monaco, même si elle ne possède aucun titre de noblesse – elle n’est pas princesse – Charlotte Casiraghi vient de là, de la dynastie Grimaldi, avec tout ce que cet héritage peut charrier de fantasmes et de bimbeloterie bling.

Dans ce contexte clinquant, la philosophie détonne forcément. A priori, le Rocher ressemble davantage à la caverne de Platon, royaume des apparences, qu’à un haut lieu de la pensée comme Heidelberg. Si bien que lorsque Charlotte a lancé en 2015 les Rencontres philosophiques de Monaco, l’initiative a pu surprendre, voire sonner comme un oxymore. S’agit-il pour elle d’un passe-temps chic entre un concours hippique et une croisière sur le yacht familial ? Certes, il y eut avant elle des princesses philosophes. Que l’on songe à Élisabeth de Bohême qui entretint une riche correspondance avec Descartes. Ou bien est-ce, pour la jeune femme de 30 ans, une façon de redorer son image et de prendre son indépendance ? On lui pose la question par un après-midi pluvieux de septembre à Paris. Elle a troqué les vêtements sophistiqués de créateurs portés pendant la séance photo pour une tenue simple : jean-chemise-baskets. Sur la table, le livre qu’elle est en train de lire – Le Pas gagné de l’amour du philosophe Paul Audi – une bière et son paquet de fines cigarettes. On perçoit son agacement quand elle répond de sa voix grave : « Penser que j’organise ces rencontres pour m’émanciper, cela revient à parler de moi comme d’un petit enfant qui aurait besoin de trouver une occupation pour s’affirmer. Je ne cherche pas à être mieux perçue grâce à la philosophie. Je fais toujours des choix de passion, d’authenticité, qui correspondent à ce que je suis profondément. Une de mes phrases préférées, c’est celle de Nietzsche : “Les convictions sont des prisons.” »

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Crédit photo : Paul Wetherell

Elle énonce cela avec calme, en pesant chacun de ses mots. Bien sûr, Charlotte Casiraghi est ravissante, un visage préraphaélite avec un regard aigue-marine, des lèvres pleines, un teint mordoré. Mais lorsqu’elle parle, elle acquiert une forme de gravité, d’intensité, qui captive plus encore que sa beauté. C’était déjà frappant au mois de juin lors du colloque de clôture des rencontres philosophiques à Monaco, dans l’enceinte du théâtre Princesse Grace. Au moment de remettre le prix du livre de philosophie (attribué à Vinciane Despret pour Au bonheur des morts), Charlotte, allure d’étudiante sage avec sa jupe noire, son chemisier et ses mocassins, est montée sur scène pour redire son amour de la philosophie, son désir profond de le partager. Un discours simple, articulé, qui levait les doutes sur l’authenticité d’un tel événement. Car, il faut l’avouer, il pouvait y avoir quelque chose de surréaliste à entendre, sur cette même scène, dans l’un des temples du capitalisme, une éditrice italienne fustiger les dégâts causés par les multinationales. Mais, après tout, Monaco fut aussi le lieu de naissance du chanteur anarchiste Léo Ferré... Outre ce choc des cultures, le programme des interventions frappait surtout par sa qualité et son sérieux, réunissant quelques-uns des grands noms de la philosophie contemporaine : Marc Crépon, directeur du département de philosophie de l’École normale supérieure, Anne Dufourmantelle et Cynthia Fleury, philosophes et psychanalystes, Frédéric Worms, spécialiste de l’œuvre de Bergson... Beaucoup plus de matière grise que de Botox. Quant au comité d’honneur, il pourrait tenir lieu de Who’s who de l’internationale intello : Hélène Cixous, Pierre Nora, Michel Serres, Avital Ronell, Amartya Sen (prix Nobel d’économie), feu Umberto Eco ou encore Julia Kristeva. « Le fait que ce projet vienne d’une jeune femme comme Charlotte constituait une promesse absolument inattendue, s’extasie l’écrivain et psychanalyste, compagne de Philippe Sollers. Je ne connaissais pas vraiment l’histoire de Charlotte, davantage son image. J’ai découvert quelqu’un de très raffiné qui mérite d’être connu par-delà la médiatisation “people”. Elle démontre qu’il est possible de penser dans la société du spectacle. »

C’est certain, la personnalité de Charlotte a beaucoup fait pour l’écho médiatique dont ont bénéficié les rencontres. La Monégasque a même eu les honneurs d’un entretien croisé avec André Comte-Sponville dans le numéro d’octobre?2015 de Philosophie Magazine. Martin Legros, rédacteur en chef du mensuel, se souvient : « Au départ, j’étais intrigué, admet-il. Mais je me suis rendu compte que Charlotte Casiraghi était très engagée, vraiment attachée à la philosophie. Elle m’a envoyé un texte qu’elle avait écrit pour le cahier accompagnant les rencontres. Je l’ai trouvé assez remarquable, avec des références peu fréquentes à Donald Winnicott ou au philosophe d’origine sud-coréenne Byung-Chul Han. Il y était question de “l’impossible rencontre”. Elle évoquait notamment la vie amoureuse compliquée des jeunes femmes d’aujourd’hui. J’ai eu l’impression qu’elle parlait d’elle. »

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Crédit photo : Paul Wetherell

Simone de Beauvoir et Colette

Impossible d’en avoir confirmation. Dès que l’on s’aventure sur le terrain de l’intimité – son enfance, son statut de mère ou l’endroit où elle vit –, Charlotte esquive. Avec courtoisie et fermeté. Qui oserait outrepasser cette fin de non-recevoir risquerait de s’attirer les foudres de Me Alain Toucas, qui veille jalousement sur la communication de la famille princière. « Je trouve inacceptable que l’on puisse s’emparer de ma vie privée, assène Charlotte. Ce qui me pose problème, c’est le fait que je puisse être à tout moment observée, scrutée dans ma vie intime. Je me sens atteinte dans ma liberté. » Or elle entend plus que tout mener une vie de femme libre, sans pour autant se dire féministe. « Je n’aime pas le mot », lâche-t-elle. Parmi les figures qui l’inspirent, elle cite Simone de Beauvoir, Lou Andreas-Salomé « qui a tenu tête à Rilke, Freud et Nietzsche », ou encore Colette, « quelqu’un d’absolument unique dans son chemin de vie, dans son écriture tellement sensorielle ». Elle poursuit : « La littérature et la philosophie m’aident à vivre un peu mieux la confrontation avec la précarité du désir, de la vie ; le sentiment de perte radicale qui nous abîme et nous brûle. Partager cela avec d’autres me donne du plaisir. C’est la seule raison qui m’a poussée à entreprendre ces rencontres. »

Le sentiment de perte radicale, Charlotte l’éprouve très tôt. Elle a seulement 4 ans quand son père, l’homme d’affaires italien Stefano Casiraghi, meurt dans un accident d’offshore à Saint-Jean-Cap-Ferrat, en 1990. Caroline part vivre à Saint-Rémy-de-Provence avec ses trois enfants, Charlotte et ses deux frères, Andrea et Pierre. Ils fréquentent l’école de la petite ville des Alpilles. La fillette se révèle une excellente élève. Sa marraine, Albina du Boisrouvray, évoque une enfant « très studieuse, très méticuleuse, toujours plongée dans les livres ou dans ses devoirs ». Grand ami de Caroline, le couturier Karl Lagerfeld complète le portrait de cette jeune fille modèle qu’il juge bien au-dessus du niveau moyen du gotha : « Elle s’est toujours intéressée à la littérature. C’est une passion que nous partageons. Quand elle avait 12 ou 13 ans, elle est même venue chez moi à Biarritz pour m’aider à ranger ma bibliothèque ! » Alors que ses amis écoutent Kurt Cobain, elle s’absorbe dans Les Fleurs du mal de Baudelaire. Un amour pour la culture inscrit dans ses gènes. Son arrière-grand-père, Pierre de Polignac, était un ami de Marcel Proust. Il a laissé son nom à un prix littéraire, le prix Prince-Pierre-de-Monaco, que préside Caroline, elle-même férue d’art contemporain et de danse. « Ma mère m’a certes transmis ce goût de la culture, mais surtout celui du dépassement de soi par l’intellect, de l’exigence dans son raisonnement, dans sa pensée », précise Charlotte. En terminale au lycée François-Couperin de Fontainebleau, l’adolescente découvre la philosophie : « Je me suis sentie rassurée qu’il existe cet espace pour la pensée. J’ai toujours eu l’angoisse de ne pas voir toutes les facettes d’un problème, de mal évaluer une situation, une personne. Je me suis dit que les outils conceptuels, critiques, pourraient me permettre d’appréhender le réel, les conflits moraux, d’une façon un peu plus juste. »

Au lycée, son professeur de philo s’appelle Robert Maggiori. Il est également traducteur et critique à Libération. C’est au siège du journal qu’on le retrouve pour évoquer son ancienne élève. Entre deux cigarettes, l’ancien disciple deVladimir Jankélévitch, parle longuement de Charlotte, n’hésitant pas à citer Mao : « Je ne lui ai pas donné les poissons. Je lui ai appris à pêcher. » Il se remémore une élève « d’une discrétion totale ». « Aucune mesure particulière n’avait été mise en place pour l’accueillir. Elle se posait beaucoup de questions, comme tous les élèves, mais elle mettait plus de ténacité que les autres pour tenter d’y répondre. La philosophie a été une découverte qui lui allait bien, comme on peut dire d’un vêtement qu’il tombe bien. » Après son bac obtenu avec mention « très bien », Charlotte entre en hypokhâgne au lycée Fénelon. Filière prestigieuse. Après un échec au concours d’entrée à Normale sup, elle suit une licence de philo à la Sorbonne. « Il y avait toujours une légère rumeur, un bruissement, quand elle passait dans les couloirs, se remémore Antoine qui a suivi avec elle un cours sur Hegel. Mais personne ne venait l’importuner. Je l’apercevais parfois dans la cour d’honneur. Elle n’existait pas encore médiatiquement ; ça la rendait charmante. » À la même époque, elle effectue un stage dans l’édition, chez Robert Laffont. « Elle venait en bus le matin et partageait mon bureau, raconte Élodie Veysman, éditrice pour la collection “Bouquins”. Je l’ai vue une seule fois se mettre en colère. C’était à cause d’un article qui décrivait ses moindres faits et gestes. Elle ne supportait pas qu’on entre ainsi dans sa vie privée. »

Une tête métaphysique

Les paparazzis ont toujours fait partie de son quotidien. Avant, ils pistaient sa mère. En grandissant, Charlotte est devenue à son tour l’une de leurs proies. Ce qui peut expliquer son goût pour le secret. « Ma pudeur vient sûrement en partie de là, confirme-t-elle. Je pense surtout que ne pas tout révéler de soi constitue une forme de savoir-vivre. On vit aujourd’hui dans une société de l’obscénité, de la mise en scène de soi, mais on ne peut pas être dans une transparence absolue en permanence. » Charlotte, elle, n’a pas de compte Instagram et avoue ne pas savoir comment fonctionne Facebook. Pas du genre à multiplier les selfies, elle peut en revanche accepter de jouer les égéries. En 2010, elle signe un contrat avec Gucci et devient ambassadrice de la ligne équestre de la marque italienne.

L’équitation est l’autre passion de sa vie. « Si j’ai pu chercher à m’émanciper, notamment à l’adolescence, c’est par le sport que je l’ai fait, précise Charlotte. La pratique de l’équitation vous met face à l’imprévu, vous confronte à l’altérité. Avec le cheval, vous n’êtes pas dans un rapport de force, mais dans un rapport de confiance. » Thierry Rozier l’entraîne depuis qu’elle a 14 ans dans son haras de Bois-le-Roi, près de Fontainebleau : « Dans notre milieu, on dit toujours “monte à cheval, je te dirai qui tu es”, rapporte le coach. Eh bien, avec Charlotte, ça se vérifie totalement. Elle est perfectionniste. Parfois trop. Quand elle avait 20 ans, on a visé le haut niveau, on avait une ambition semi-pro. On a tout remis en question quand elle a eu son bébé. Maintenant, elle monte pour s’amuser et basta. C’est un rythme plus compatible avec sa nouvelle vie, ses activités. »

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Crédit photo : Paul Wetherell

Après s’être essayée au journalisme, à une carrière pro dans l’équitation, Charlotte Casiraghi est rattrapée par la philo. Restée proche de son professeur Robert Maggiori, qui l’aurait bien vue passer l’agrégation et faire une thèse, elle réfléchit à une autre façon de transmettre la philosophie au grand public, hors du cadre universitaire. Ils en discutent d’abord ensemble, bientôt rejoints par deux autres philosophes, Joseph Cohen et Raphael Zagury-Orly. Ces anciens élèves de Jacques Derrida s’engagent sans réserve au côté de Charlotte. « J’ai trouvé sa démarche très courageuse, explique le premier, enseignant-chercheur à l’University College Dublin. Ça devait être compliqué pour elle de se lancer dans une aventure où rien n’était assuré d’avance. On aurait pu se casser la gueule mille fois, mais elle revenait toujours avec le même enthousiasme, de nouvelles idées. » Quant à Raphael Zagury-Orly, Israélien, traducteur de Gilles Deleuze en hébreu, il assure : « Charlotte a la tête métaphysique. Certaines personnes ont une sensibilité artistique, d’autres une sensibilité scientifique. Elle, elle a cette attirance pour ce discours très particulier qu’est le discours philosophique. » Cet automne, les rencontres entrent dans leur deuxième année, avec le corps pour thème. Et Charlotte s’y consacre pleinement, désireuse d’inscrire ce rendez-vous dans la durée.

En 2004, l’écrivain et académicien Marc Lambron, membre du conseil littéraire du prix Prince-Pierre-de-Monaco, avait adressé une lettre publiée dans Vogue à celle qui fêtait ses 18 ans. « Vous devenez comptable de ce qui jusqu’alors vous était pardonné », lui écrivait-il. Aujourd’hui, il salue le chemin parcouru : « Il y a un récit entretenu depuis cinquante ans sur ce qu’est Monaco : une principauté de conte de fées, le wonderland de la Riviera, estime-t-il. Le défi de la famille princière est de déjouer le lieu commun, ce que la société du spectacle voudrait qu’elle soit. J’admire tous ceux qui, dans un jeu d’images obligées, jouent leur liberté en sortant par le haut. C’est ce que fait Charlotte. » Qui entend continuer à tracer sa voie loin des figures imposées. L’aventure de l’écriture la tente. Peut-être le prochain chapitre de son histoire.

Cet article est paru dans le numéro 41 (novembre 2016) de Vanity Fair France.
 
¿Qué quieres que te diga? Quizá es la chica más culta e intelectual del universo. Para mí es como cuando la tía Stephanie quiso cantar y allí aparecieron los discos y las promociones y los estudios de grabación y las canciones como por arte de magia independientemente de que tuviera o no talento y voz. La chica tiene que ocupar el tiempo con algo y ahora le dio con la filosofía y como cuando tu hijo quiere un juguete nuevo y se lo compras apareció esto de los foros de filosofía en Mónaco, total no hace daño alguno y le da lustre al principado y un aire de intelectualidad a ella. Raro que siempre todo sea en Mónaco, nunca en una universidad ignota en cualquier parte del mundo independiente del ala familiar y empezando como cualquier hijo de vecino desde abajo y sin publicidad alguna. El profesor no fue nada tonto en elegir codearse con la alumna que podía abrirle acceso y puertas que el apellido y el dinero abren. Es más , creo que ella ni habría terminado la carrera por lo que dice en el artículo, se ve que ella quiere divulgar y debatir y nada que tenga que ver con los claustros universitarios, pues bien, enhorabuena. Yo sigo convencida que poderoso caballero es don dinero y que puedes tener talento y ser genial que sin conexiones y dinero no llegas a ninguna parte. Quizá me tapa la boca y en veinte años sea una figura de la filisofía moderna, el tiempo dirá, a no ser que se canse antes y termine como la carrera musical de la tía.
 
Habría que leer el libro para criticarla como corresponde. Pero al ser filosofía, es muy subjetivo supongo. No da el perfil, pero no la conozco en la intimidad para no creer que es capaz.
 
¿Qué quieres que te diga? Quizá es la chica más culta e intelectual del universo. Para mí es como cuando la tía Stephanie quiso cantar y allí aparecieron los discos y las promociones y los estudios de grabación y las canciones como por arte de magia independientemente de que tuviera o no talento y voz. La chica tiene que ocupar el tiempo con algo y ahora le dio con la filosofía y como cuando tu hijo quiere un juguete nuevo y se lo compras apareció esto de los foros de filosofía en Mónaco, total no hace daño alguno y le da lustre al principado y un aire de intelectualidad a ella. Raro que siempre todo sea en Mónaco, nunca en una universidad ignota en cualquier parte del mundo independiente del ala familiar y empezando como cualquier hijo de vecino desde abajo y sin publicidad alguna. El profesor no fue nada tonto en elegir codearse con la alumna que podía abrirle acceso y puertas que el apellido y el dinero abren. Es más , creo que ella ni habría terminado la carrera por lo que dice en el artículo, se ve que ella quiere divulgar y debatir y nada que tenga que ver con los claustros universitarios, pues bien, enhorabuena. Yo sigo convencida que poderoso caballero es don dinero y que puedes tener talento y ser genial que sin conexiones y dinero no llegas a ninguna parte. Quizá me tapa la boca y en veinte años sea una figura de la filisofía moderna, el tiempo dirá, a no ser que se canse antes y termine como la carrera musical de la tía.


Son pijas millionarias que siempre se le ocurre algo distinto,hoy es la filosofìa,manyana serà el arte, luego quien sabe.
Demasiado dinero y demasiado tiempo libre y ninguna responsabilidad ,y nunca se dedicanen algo serio y lo siguen a lo largo de los anyos.
 
Disculpa es que Vanity Faire es demasiado frivolo para una hater de Vega, no tiene el nivel de cotilleando, pero ya me diras que tiene que ver mi explicación de que Charlotte es culta, con aparecer o no en una publicación? van a hacer en la academia un estudio sobre su cultura? O solo es culto quien aparece?
PD- La educación y la lógica se pierden por el camino del estudio?

Te dejo otros http://www.lefigaro.fr/culture/2016...uvelle-terre-de-rencontres-philosophiques.php
philomonaco.com/membre-fondateur/charlotte-casiraghi/
http://deans-martial-arts-academy.tk/wital/rencontres-philosophiques-de-monaco-1270.php
www.livreshebdo.fr/article/la-princesse-et-le-philosophe
http://www.parismatch.com/Culture/Livres/Les-philosophes-autour-de-Charlotte-Casiraghi-996416
https://www.babelio.com/livres/...Archipel-des-passions/1026462
 
Última edición por un moderador:
Doña Letizia se ha hecho un montón de operaciones para estar guapa. Y ahora que supuestamente lo ha conseguido no se le ocurre organizar encuentros de filosofía, en Madrid o Barcelona.


Ni Carlotita ni la Kk organizan nada, terceros que siempre están tras bambalinas son los que hacen todo el trabajo, este par lo único que hacen es aparecerse para tomarse la foto; por Dios no hay que ser taaan inocentes!!!

Si si si Carlotita es presidenta de las reuniones filosóficas literarias de Mónaco, pero por ser sobrina de quien es, a caso hay alguien que piense que podría “organizar y presidir” un evento de estos por si no fuera una Grimaldi???!!!
 
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