CAROLINA Y CHARLOTTE EN EL FORO FILOSÓFICO DE MONACO

Veo que en alguna foto aparecen adolescentes y en el facebook también he visto preadolescentes y que se realizaron actividades durante bastantes días. Debió ser un foro para todos los públicos, lo que no está mal. Se promociona la filosofía entre los jóvenes y, quizás, se despierta alguna vocación. El papel de Charlotte en todo esto es el mismo que el de Alberto con sus actividades medioambientales: promoción de la persona, promoción del Principado dándole "buena imagen". Ella aún ha estudiado Filosofía (terminase o no los estudios) pero Alberto no tiene estudios de Biología o Ciencias Ambientales...
 
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Por no abrir hilo nuevo, y ya que trata de la lectura y la filosofía

http://www.elle.fr/Loisirs/Livres/N...-dit-tout-sur-son-amour-de-la-lecture-3126139

Charlotte nos habla de su amor por la lectura. Titlares:

-Para ella la lectura es una pasión y una fuente de sabiduría.

-En la adolescencia, descubrió la poesía

-Sus amigos adoraban a Kurt Cobain, pero ella era más de Victor Hugo o Rimbaud.

-Se suele sentir atraída por un título o una portada, y es sorprenderte ver como por azar ha comprado libros que le gusta el contenido.

-En la Sorbonne estudió Filosofía y obtuvó una licenciatura antes de realizar prácticas en "The Independent" y colaborar en la colección Bouquins.

-Considera a los escritores de obras que la leído sus amigos, "el colega Freud"

-Ha leído muchísimo para las jornadas de Filosofía

-Hace una elección de 3 libros

Charlotte Casiraghi nous dit tout sur son amour pour la lecture
Publié le 9 juillet 2016 à 15h10
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© Montblanc


Cet été, on donne la parole à des lectrices passionnées. Pour commencer, une rencontre exclusive avec Charlotte Casiraghi.

La lecture comme contrepoint à une vie surexposée, un jardin secret dans lequel aucun photographe ne peut pénétrer ? La ravissante jeune femme avançant sur tapis rouge en robe haute couture, la cavalière cravachant sa monture dans des concours hippiques est aussi une personne à la tête bien pleine, capable d’aller au bout de ses rêves en organisant, par exemple, des rencontres philosophiques à Monaco. D’octobre à avril, un atelier est animé chaque mois par un penseur. On y aborde le même thème sous différentes facettes. Et la session se termine par un colloque de deux jours puis l’attribution d’un prix.

« J’ai toujours eu un rapport aux livres intense »
Pour Charlotte Casiraghi, la lecture est une passion, pas une distraction, un plaisir mais aussi une source de savoir, bref la lecture est une affaire sérieuse. « J’ai toujours eu un rapport aux livres intense, se souvient-elle. Enfant, j’avais hâte d’apprendre à lire. Pour patienter, je m’asseyais à côté de ma mère et j’ouvrais “Les Malheurs de Sophie”... à l’envers ! » À l’adolescence, elle découvre la poésie : « Alors que mes amis adoraient Kurt Cobain, moi je préférais Baudelaire, Rimbaud, Victor Hugo. Des héros romantiques à mes yeux, qui sont devenus mes idoles. Je me souviens du choc éprouvé en me plongeant dans “Les Fleurs du mal”, “Illuminations” ou “Les Contemplations”. Mais aussi “Le Rouge et le Noir”, de Stendhal. Un livre d’une intensité incroyable. J’ai ressenti une véritable secousse en lisant “Voyage au bout de la nuit”, de Céline, qui bouleversait le langage. Et puis, bien sûr, il y a Albert Camus, dont “La Chute” et “L’Homme révolté” m’ont beaucoup marquée vers 16, 17 ans... »

Comment choisit-elle ses livres ?
« Je ne sais pas pour- quoi je suis attirée parfois par un titre, une couverture. Et il est surprenant de voir à quel point ces ouvrages achetés par hasard nous correspondent au fond. » Charlotte s’est intéressée à la philosophie et à la psychanalyse grâce à son professeur de terminale, Robert Maggiori. Puis elle a fait hypokhâgne, khâgne à Fénelon, obtenu une licence en philosophie à la Sorbonne, avant d’entamer un stage au quotidien britannique « The Independent » et de revenir en France pour collaborer à la collection Bouquins, chez Robert Laffont. « Si je n’avais pas créé Les Rencontres philosophiques, je travaillerais certainement dans l’édition. Pour moi, les livres doivent vous transformer, provoquer des bouleversements dans vos pensées, votre cœur. J’aime qu’ils me permettent de comprendre quelque chose en moi, qu’ils servent de révélateur. J’ai d’ailleurs toujours considéré les écrivains comme des amis... Je suis capable de parler de “mon pote Freud” ! Je ressens une véritable connivence avec eux, il m’arrive même d’imaginer leurs journées ! »
Ses derniers coups de cœur se ramassent à la pelle. Elle craint d’en oublier. « J’ai lu beaucoup pour le prix de philosophie que nous avons décerné en juin. Le texte qui l’a emporté, “Au bonheur des morts”, de Vinciane Despret (La Découverte), est très accessible. Après avoir recueilli des témoignages, l’auteure analyse les rapports entre les vivants et les morts. Ceux-ci nous convoquent, nous poussent à agir. Elle émet l’idée qu’il ne faut pas faire son deuil, mais au contraire continuer à vivre avec nos défunts. J’ai adoré également “Mémoire de fille”, d’Annie Ernaux, une romancière que j’avais découverte au lycée et dont l’écriture à vif m’impressionne. » Charlotte lit le soir, avant de se coucher, « le moment où je suis le plus en forme pour me plonger dans des textes difficiles ». Jamais de comédies pour se détendre au bord de la piscine ? « Non, jamais. Si j’ai envie de légèreté, je feuillette un magazine, ou il peut m’arriver de me plonger dans un ouvrage comme “La Magie du range- ment”, de Marie Kondo ! Mais pour moi une écriture est une voix et j’ai besoin de livres qui ont du souffle. »

Ses trois livres de chevet
« L’Éveil de l’intelligence », de Jiddu Krishnamurti (Le Livre de poche) : un ouvrage pour éviter le prêt à penser, très connu aux États-Unis. Je ne partage pas toutes les réflexions de l’auteur, mais c’est très apaisant.


« C’est pour ton bien », d’Alice Miller (Champs Essais) : elle défend la thèse que les racines de la violence sont à chercher dans une éducation trop répressive. Un ouvrage que beaucoup devraient lire.


« Pensées », de Pascal (Le Livre de poche) : quelle richesse, il y a tout dans ce livre ! Il raconte notre condition humaine et on peut l’ouvrir à n’importe quelle page, c’est brillant.

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Cet article a été publié dans le magazine ELLE du vendredi 08 juillet 2016.
Pour vous abonner, cliquez ici.
 
Por no abrir hilo nuevo, y ya que trata de la lectura y la filosofía

http://www.elle.fr/Loisirs/Livres/N...-dit-tout-sur-son-amour-de-la-lecture-3126139

Charlotte nos habla de su amor por la lectura. Titlares:

-Para ella la lectura es una pasión y una fuente de sabiduría.

-En la adolescencia, descubrió la poesía

-Sus amigos adoraban a Kurt Cobain, pero ella era más de Victor Hugo o Rimbaud.

-Se suele sentir atraída por un título o una portada, y es sorprenderte ver como por azar ha comprado libros que le gusta el contenido.

-En la Sorbonne estudió Filosofía y obtuvó una licenciatura antes de realizar prácticas en "The Independent" y colaborar en la colección Bouquins.

-Considera a los escritores de obras que la leído sus amigos, "el colega Freud"

-Ha leído muchísimo para las jornadas de Filosofía

-Hace una elección de 3 libros

Charlotte Casiraghi nous dit tout sur son amour pour la lecture
Publié le 9 juillet 2016 à 15h10
Charlotte-Casiraghi-nous-dit-tout-sur-son-amour-de-la-lecture.jpg

© Montblanc


Cet été, on donne la parole à des lectrices passionnées. Pour commencer, une rencontre exclusive avec Charlotte Casiraghi.

La lecture comme contrepoint à une vie surexposée, un jardin secret dans lequel aucun photographe ne peut pénétrer ? La ravissante jeune femme avançant sur tapis rouge en robe haute couture, la cavalière cravachant sa monture dans des concours hippiques est aussi une personne à la tête bien pleine, capable d’aller au bout de ses rêves en organisant, par exemple, des rencontres philosophiques à Monaco. D’octobre à avril, un atelier est animé chaque mois par un penseur. On y aborde le même thème sous différentes facettes. Et la session se termine par un colloque de deux jours puis l’attribution d’un prix.

« J’ai toujours eu un rapport aux livres intense »
Pour Charlotte Casiraghi, la lecture est une passion, pas une distraction, un plaisir mais aussi une source de savoir, bref la lecture est une affaire sérieuse. « J’ai toujours eu un rapport aux livres intense, se souvient-elle. Enfant, j’avais hâte d’apprendre à lire. Pour patienter, je m’asseyais à côté de ma mère et j’ouvrais “Les Malheurs de Sophie”... à l’envers ! » À l’adolescence, elle découvre la poésie : « Alors que mes amis adoraient Kurt Cobain, moi je préférais Baudelaire, Rimbaud, Victor Hugo. Des héros romantiques à mes yeux, qui sont devenus mes idoles. Je me souviens du choc éprouvé en me plongeant dans “Les Fleurs du mal”, “Illuminations” ou “Les Contemplations”. Mais aussi “Le Rouge et le Noir”, de Stendhal. Un livre d’une intensité incroyable. J’ai ressenti une véritable secousse en lisant “Voyage au bout de la nuit”, de Céline, qui bouleversait le langage. Et puis, bien sûr, il y a Albert Camus, dont “La Chute” et “L’Homme révolté” m’ont beaucoup marquée vers 16, 17 ans... »

Comment choisit-elle ses livres ?
« Je ne sais pas pour- quoi je suis attirée parfois par un titre, une couverture. Et il est surprenant de voir à quel point ces ouvrages achetés par hasard nous correspondent au fond. » Charlotte s’est intéressée à la philosophie et à la psychanalyse grâce à son professeur de terminale, Robert Maggiori. Puis elle a fait hypokhâgne, khâgne à Fénelon, obtenu une licence en philosophie à la Sorbonne, avant d’entamer un stage au quotidien britannique « The Independent » et de revenir en France pour collaborer à la collection Bouquins, chez Robert Laffont. « Si je n’avais pas créé Les Rencontres philosophiques, je travaillerais certainement dans l’édition. Pour moi, les livres doivent vous transformer, provoquer des bouleversements dans vos pensées, votre cœur. J’aime qu’ils me permettent de comprendre quelque chose en moi, qu’ils servent de révélateur. J’ai d’ailleurs toujours considéré les écrivains comme des amis... Je suis capable de parler de “mon pote Freud” ! Je ressens une véritable connivence avec eux, il m’arrive même d’imaginer leurs journées ! »
Ses derniers coups de cœur se ramassent à la pelle. Elle craint d’en oublier. « J’ai lu beaucoup pour le prix de philosophie que nous avons décerné en juin. Le texte qui l’a emporté, “Au bonheur des morts”, de Vinciane Despret (La Découverte), est très accessible. Après avoir recueilli des témoignages, l’auteure analyse les rapports entre les vivants et les morts. Ceux-ci nous convoquent, nous poussent à agir. Elle émet l’idée qu’il ne faut pas faire son deuil, mais au contraire continuer à vivre avec nos défunts. J’ai adoré également “Mémoire de fille”, d’Annie Ernaux, une romancière que j’avais découverte au lycée et dont l’écriture à vif m’impressionne. » Charlotte lit le soir, avant de se coucher, « le moment où je suis le plus en forme pour me plonger dans des textes difficiles ». Jamais de comédies pour se détendre au bord de la piscine ? « Non, jamais. Si j’ai envie de légèreté, je feuillette un magazine, ou il peut m’arriver de me plonger dans un ouvrage comme “La Magie du range- ment”, de Marie Kondo ! Mais pour moi une écriture est une voix et j’ai besoin de livres qui ont du souffle. »

Ses trois livres de chevet
« L’Éveil de l’intelligence », de Jiddu Krishnamurti (Le Livre de poche) : un ouvrage pour éviter le prêt à penser, très connu aux États-Unis. Je ne partage pas toutes les réflexions de l’auteur, mais c’est très apaisant.


« C’est pour ton bien », d’Alice Miller (Champs Essais) : elle défend la thèse que les racines de la violence sont à chercher dans une éducation trop répressive. Un ouvrage que beaucoup devraient lire.


« Pensées », de Pascal (Le Livre de poche) : quelle richesse, il y a tout dans ce livre ! Il raconte notre condition humaine et on peut l’ouvrir à n’importe quelle page, c’est brillant.

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Cet article a été publié dans le magazine ELLE du vendredi 08 juillet 2016.
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Lei la entrevista y no sé qué creer ... Me cuesta creer... Que hago? Buaaaahhhh! :D
Doing! Doing! LOL!!
 
Charlotte filosofa??? jaa no me hagan reir. Espero que solo sea organizadora y no exponente porque de filosofa no tiene nada. Parece una broma de mal gusto para todos aquellos que si han estudiado la carrera e invertido su tiempo entre libros mientras que esta nena andaba de fiesta en fiesta. Por favor no piesen que tengo mala leche, pero en serio que ella no pinta nada para esto. Soy una profesional y se cuanto cuesta estudiar, sacrificar y hacerse un hueco en este mundo. Ella de filosofa NADA de NADA.
Bueno, Elle est licence de philosophie de l'Université Paris-Sorbonne (Paris IV) y todos los exponentes del grupo han sido sus profesores:bookworm:
 
Por lo que sé, charlotte no termino la carrera.
Eso yo no lo puedo afirmar, ya que ella dice que se licencio y no veo porque no creerle, ademas ni sus profesores, ni la universidad lo contradicen( tampoco la prensa ,siempre mencionan que se graduo en Filosofia en la Sorbona).
Por lo que creo que solo aquel que sea intimo de Charlotte o trabaje en la sorbona en el departamento de filosofia y letras podria
opinar con tanta conviccion de esto y creo que hasta ahora en el foro no tenemos a nadie con esas credenciales, por lo que todo lo que se diga en ese sentido cae en el ambito de la especulacion.
 
Muchas en mi trabajo decían que eran licenciadas cuando las Pinochas solo habían cursado dos o tres semestres de la licenciatura, tenían una carrera trunca, ni a pasantes llegaban!!!
 
A ver, creo que ya lo he dicho antes, en otros hilos donde se repite lo mismo de Charlotte y su carrera: yo he terminado una carrera de seis años; me ha costado a mi, le ha costado a mis padres y a mi familia; tengo un titulo del que me siento orgullosa; pero también conozco mucha gente, que por distintos motivos y razones, no terminaron sus carreras o incluso no estudiaron ninguna. Gente inteligente y apasionada, estudiosa y dedicada, a la que nunca juzgaría en sus conocimientos por el hecho de no tener papeles académicos que avalen sus conocimientos. Si no lo hago con otros, tampoco lo haré con Charlotte.
Ella no es alguien que este postulando a un cargo publico y haya mentido en su CV, o que le haya quitado el trabajo a alguien con mayores pergaminos (que por cierto, si seria algo que me moleste); es alguien privilegiado, sin dudas,que puede aprovechar sus recursos para llamar la atención en algo que le gusta (que dice que le gusta, posturea, no lo sé, es problema suyo), seguir con su tema de llevar ropa de Gucci y estar en Mónaco. Si con esas entrevistas, apariciones o recomendaciones de libros consigue que alguien, al menos una persona, lea un libro de filosofía o se interese en el tema, yo creo que esta haciendo algo bueno en lo absoluto.
 
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